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Monday, May 31, 2021

CRTC: des télécoms indépendantes veulent la tête du président - Le Journal de Montréal

Des entreprises de télécommunications indépendantes réclament la démission du président du CRTC après la décision «incohérente», prise la semaine dernière, d’annuler la baisse des frais accordée en 2019.

• À lire aussi: Accès aux réseaux : le CRTC recule légèrement sur sa baisse de tarifs de 2019

Dans un communiqué diffusé le jour même, le président-directeur général de VMedia, une entreprise canadienne indépendante qui a des clients dans plusieurs provinces, qualifiait l’annonce du «plus grand renversement d’une décision par une cour au Canada» et demandait la tête de son président Ian Scott.

Voici qu’aujourd’hui, c’est au tour des entreprises TekSavvy et EBOX de demander le départ de M. Scott.

Une décision qui passe mal

Vendredi passé, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a maintenu les tarifs de gros de 2016 que pouvaient charger les géants de l’industrie aux plus petits joueurs pour accéder à leurs réseaux.

En 2019, le CRTC avait décidé d’abaisser à nouveau ces tarifs qu’il jugeait «déraisonnables». Les géants se sont insurgés contre la décision et ont multiplié les recours judiciaires. Cependant, la Cour d’appel fédérale puis la Cour suprême ont rejeté le dossier, jugeant que les géants poussaient le bouchon un peu trop loin.

Mais les tarifs diminués ne sont finalement jamais entrés en vigueur et, vendredi, le CRTC est revenu sur sa précédente décision, qui était attendue de pied ferme par l’industrie.

L’annonce a été reçue comme une gifle au visage des entreprises indépendantes.

«La décision soulève de sérieux doutes quant au leadership et à la compétence du CRTC, ainsi qu'à l'intégrité de son processus, et brade les Canadiens au profit des joueurs dominants. Le président du CRTC, Ian Scott, devrait démissionner et le Parlement devrait lancer une enquête immédiate sur ce résultat incohérent et si l'influence politique et corporative a eu un impact sur cette décision», a déclaré Alexei Tchernobrivets, PDG de VMedia.

Celui-ci n’a pas manqué de souligner que Ian Scott, directeur actuel du CRTC, est un ancien haut cadre de Telus. Le PDG de la québécoise EBOX, Jean-Philippe Béïque, a soulevé le même point.

«L'apparence d'un conflit d'intérêts dû à la pression des grands prestataires, l'incompétence ainsi que l'inefficacité dans le traitement de ce dossier sont tout simplement trop importantes pour être ignorées», a-t-il accusé.

De son côté, TekSavvy, une des plus grandes entreprises de télécom indépendantes au pays, demande au gouvernement libéral d’annuler la décision de vendredi dernier et veut que «le président Scott soit immédiatement démis de ses fonctions ou, à tout le moins, qu'il soit tenu de se récuser des décisions impliquant des concurrents grossistes et des fournisseurs d'installations».

Bell saute sur l'occasion

Signe que la décision a été accueillie favorablement par les plus grands, Bell a annoncé que la décision pourrait lui permettre d’accélérer les investissements dans son réseau en ajoutant 500 millions $ à son budget d’agrandissement pour les deux prochaines années.

«Maintenant, grâce à une plus grande stabilité réglementaire favorisant un meilleur climat d'investissement, Bell est fière de faire avancer son plan en augmentant encore plus ses investissements pour améliorer la façon dont les Canadiens des collectivités grandes et petites se connectent entre eux et avec le monde», a déclaré le PDG de Bell, Mirko Bibic.

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Montréal | Un plan d'action pour relancer le Quartier chinois - La Presse

Restaurants fermés, clientèle rare, touristes absents, actes de racisme liés à l’origine de la pandémie, pression immobilière… Le Quartier chinois vit des moments difficiles et la Ville de Montréal, inquiète pour son avenir, s’apprête à dévoiler un plan d’action pour le relancer.

Isabelle Ducas Isabelle Ducas
La Presse

« Le Quartier chinois est crucial pour le développement et la santé du centre-ville », a souligné la mairesse Valérie Plante, lors d’un forum sur le Quartier chinois organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, lundi.

C’est important de le protéger, son identité, sa culture, son âme, ses travailleurs, ses commerces. On va déposer notre plan d’action dans quelques semaines, et il contient des pistes autant au niveau social, culturel, de la langue, ou comment garder les artères commerciales dynamiques.

Valérie Plante, mairesse de Montréal

Le forum réunissait des élus des trois ordres gouvernementaux, ainsi que plusieurs acteurs économiques de ce secteur de la ville, d’origine chinoise ou non.

Plusieurs ont rappelé à quel point le quartier avait été mis à mal par les conséquences de la COVID-19, notamment parce que des commerces ont été victimes d’actes de vandalisme racistes, et parce que les travailleurs sont absents du centre-ville, tout comme les touristes.

« La communauté chinoise de Montréal a été victime d’évènements que l’on ne peut tolérer », a déploré Chantal Rouleau, ministre responsable de la Métropole à Québec. « L’absence de milliers de travailleurs, d’étudiants et de touristes qui fréquentaient le centre-ville a évidemment affecté la vitalité de notre Quartier chinois, un quartier qui a dû faire face à une énorme baisse d’achalandage, qui a nui à sa santé financière. »

Des ventes en chute libre

À défaut des touristes internationaux, le ministre du Patrimoine canadien, Steven Guilbeault, espère que les touristes québécois voudront découvrir le Quartier chinois.

C’est une expérience culinaire et culturelle, alors je pense que jusqu’à ce qu’on puisse recevoir des gens de partout, on va travailler à encourager les gens d’ici à le découvrir.

Steven Guilbeault, ministre du Patrimoine canadien

Selon Eva Hu, propriétaire de l’enseigne de restaurants Le Coq Frit, certains restaurateurs ont vu leurs ventes chuter de 95 % depuis le début de la pandémie.

Mme Hu a pointé d’autres enjeux qui nuisent à la vitalité du quartier : beaucoup de locaux vides, des loyers trop chers et des immeubles mal entretenus. « Les propriétaires de ces bâtiments n’ont pas toujours les moyens de bien les entretenir. Ils auraient besoin d’encouragements pour mieux prendre soin de leurs immeubles », suggère la jeune entrepreneure.

Selon Jonathan Cha, urbanologue et expert en patrimoine du Quartier chinois, une reconnaissance patrimoniale pour le secteur pourrait favoriser son développement, tout en permettant de maintenir ce qui fait son intérêt.

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2e dose du vaccin d'AstraZeneca: Québec exige un délai de huit semaines - Le Journal de Québec

Même si des centres de vaccination ont donné leurs 2es doses du vaccin d’AstraZeneca à des personnes vaccinées depuis quatre semaines seulement, le ministre de la Santé Christian Dubé maintient qu’il faudra attendre huit semaines.

«La [raison] pour laquelle on exige huit semaines, c’est que c’est là l’optimum de l’immunité», a-t-il affirmé.

Durant la fin de semaine, plusieurs centres de vaccination ont accepté de donner des 2es doses du vaccin d’AstraZeneca à des personnes vaccinées ayant reçu leur première dose quatre semaines plus tôt, selon ce qu’ont rapporté plusieurs médias lundi.

Selon Christian Dubé, la confusion a été créée par l’avis du Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) qui, dans son avis publié jeudi à ce sujet, rappelait que «l’autorisation de mise en marché du vaccin est basée sur un intervalle minimal de 4 semaines entre les deux doses».

Or, Québec recommande plutôt que la deuxième dose soit administrée au moins huit semaines après la première puisque c’est à ce moment que les bénéfices du vaccin sont les plus importants.

«Désolé s’il y a eu une confusion au cours des derniers jours, mais c’est très clair à partir d’aujourd’hui: c’est les gens qui ont fait huit semaines [qui peuvent recevoir leur 2e dose], c’est ça qui est recommandé par le CIQ», a tranché Christian Dubé, lundi.

Tous les PDG de CISSS et de CIUSSS et les responsables de la vaccination ont été informés de cette demande d’un délai de huit semaines entre les deux doses du vaccin d’AstraZeneca, a ajouté le ministre.

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Huit régions du Québec passent en zone orange | Coronavirus - Radio-Canada.ca

Des gens se promènent dans une rue du Vieux-Québec.

La Capitale-Nationale est au nombre des régions qui passent en zone orange.

Photo : Getty Images / Benedek

Radio-Canada

La carte du Québec vire de plus en plus à l'orange : huit nouvelles régions délaissent lundi le palier d'alerte maximal. Les Québécois qui y résident peuvent désormais bénéficier de certains assouplissements des mesures sanitaires.

Les régions de Lanaudière, des Laurentides, de l'Outaouais, de la Capitale-Nationale, de Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent, de la Montérégie et de l'Estrie passent lundi du rouge à l'orange – à l'exception de certains secteurs où la propagation du virus n'est pas jugée suffisamment contrôlée.

Pour les élèves du secondaire en troisième, quatrième et cinquième année, le passage en zone orange est synonyme de retour en classe à temps plein, avec port du masque obligatoire.

Concrètement, les résidents en zone orange peuvent maintenant pratiquer des sports et loisirs sans contact dans des salles d'entraînement intérieures. Les activités sportives extérieures sans contact sont aussi permises; elles peuvent réunir un maximum de 12 personnes.

Les restaurateurs, qui peuvent accueillir des clients sur leur terrasse depuis le 28 mai, peuvent désormais ouvrir leur salle à manger, à condition d'accepter au maximum deux adultes par table provenant d'adresses différentes. Ceux-ci peuvent être accompagnés de leurs enfants mineurs.

Les personnes formant une même bulle peuvent aussi être ensemble à la même table.

Les Québécois en zone orange devront patienter encore un peu avant de pouvoir fréquenter les bars, qui demeurent fermés. Il faudra attendre le 11 juin pour que les terrasses extérieures de ces établissements puissent accueillir à nouveau la clientèle, en respectant les mêmes règles que les restaurants.

Les lieux récréatifs ou touristiques, comme les musées et les zoos, peuvent quant à eux ouvrir leurs portes.

En outre, les rassemblements extérieurs sur des terrains privés ou des balcons sont autorisés, dans le respect de la distanciation.

Du côté des foyers pour aînés, le passage en zone orange signifie que les visites à l’extérieur sont à nouveau permises pour tous les visiteurs, à raison d’un maximum de cinq personnes par jour. À l'intérieur, trois proches aidants par jour pourront visiter les personnes qui résident en CHSLD, RPA ou RI, un à la fois.

Pendant ce temps, les habitants de Montréal et de Laval devront prendre leur mal en patience. Le gouvernement Legault avait décidé la semaine dernière de laisser ces villes, ainsi que d'autres secteurs, en zone rouge, au moins jusqu'au 7 juin.

Si les Québécois qui résident en zone rouge visitent une zone orange ou jaune, ils sont tenus de respecter les restrictions associées au palier d'alerte en vigueur dans leur région d'origine.

Rappelons que les déplacements interrégionaux entre les zones jaunes et orange ou rouges demeurent non recommandés.

Les régions de l'Abitibi-Témiscamingue, de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, du Nord-du-Québec et de la Côte-Nord sont pour leur part en zone jaune, soit en préalerte. Aucune région n'est encore revenue en zone verte.

Un peu plus de 60 % des Québécois ont reçu au moins une dose de vaccin contre la COVID-19 jusqu'à présent.

Le gouvernement du Québec souhaite obtenir une couverture vaccinale de 75 % de la population d'ici la fin août.

Avec les informations de La Presse canadienne

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Québec clarifie sa position quant à la 2e dose du vaccin d'AstraZeneca | Coronavirus - Radio-Canada.ca

Le ministre de la Santé, Christian Dubé.

Pour le ministre de la Santé, Christian Dubé, il faut attendre huit semaines avant de recevoir la deuxième dose du vaccin AstraZeneca.

Photo : La Presse canadienne / Jacques Boissinot

Ismaël Houdassine

Quand peut-on recevoir la deuxième dose du vaccin d'AstraZeneca contre la COVID-19? Selon le ministre de la Santé, Christian Dubé, qui a tenu lundi à clarifier l'incertitude des derniers jours, il faut laisser s'écouler une période d'au moins huit semaines à partir de la première dose avant de pouvoir en recevoir une seconde.

Oui, il y a eu de la confusion ces derniers jours concernant la deuxième dose d’AstraZeneca, a-t-il indiqué lundi après-midi, en conférence de presse.

À la source de la confusion, l’avis publié en avril du Comité d’immunisation du Québec (CIQ), qui préconisait un intervalle minimal de quatre semaines entre les deux doses du vaccin d'AstraZeneca. Or, le gouvernement exigeait de son côté un délai de huit semaines pour compléter son immunisation.

Ce que le CIQ nous a dit, c’est que pour avoir la meilleure immunité pour la deuxième dose, il faut attendre huit semaines, a expliqué M. Dubé, qui s’est entretenu de la question, lundi matin, avec le directeur national de santé publique, le Dr Horacio Arruda. Pour le ministre, qui se base sur l’avis des experts de la santé publique, il faut bel et bien attendre huit semaines puisque cela correspond à la période où la protection du vaccin est la plus efficace.

Ainsi, les personnes de 45 ans et plus qui ont reçu une première dose du vaccin d'AstraZeneca avant le 3 avril peuvent en recevoir une deuxième depuis samedi dans les cliniques sans rendez-vous.

Des plages horaires sans rendez-vous ont été ouvertes dans plusieurs centres de vaccination de la province pour la distribution de ces deuxièmes doses. Consultez le site Internet du CIUSSS de votre région pour en savoir davantage.

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AstraZeneca: une deuxième dose bientôt permise en pharmacie - Le Journal de Québec

Les pharmaciens pourront finalement utiliser leurs doses restantes d’AstraZeneca pour donner à leurs patients leur deuxième dose de vaccin.

• À lire aussi: COVID-19 et rassemblements: «Il y a un danger même à l’extérieur»

• À lire aussi: Vaccination sans rendez-vous: debout à 5 h 30 pour recevoir la deuxième dose d’AstraZeneca

La prise de rendez-vous en pharmacie n’a toutefois pas encore commencé.  

L’Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP) précise que la marche à suivre sera connue et communiquée dans les prochains jours. 

Selon le président de l’AQPP, Benoit Morin, les premiers patients qui pourront recevoir leur deuxième dose en pharmacie, huit semaines après avoir reçu leur premier vaccin, se fera autour du 20 juin.  

Selon l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP), entre 1000 et 3000 doses sont actuellement en attente dans 1950 pharmacies, aux quatre coins du Québec. Certains lots expirent à la fin du mois de juin, alors que d’autres expirent d’ici quelques jours, précise M. Morin. 

Toutefois, l’autorisation du report d’un mois de la date de péremption de ces lots de vaccins d’AstraZeneca par Santé Canada samedi leur permet enfin d’écouler leurs stocks. 

Par contre, ces doses sont réservées aux personnes qui ont reçu leur première dose en pharmacie, indique M. Morin.  

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Secteur public | La FTQ, la CSQ et la CSN font le point sur l'entente - La Presse

(Montréal) L’entente de principe conclue entre Québec et la FTQ, samedi, a surpris les deux autres centrales syndicales, où les négociations se poursuivent.

Lia Lévesque
La Presse Canadienne

La CSQ n’est pas très éloignée de l’entente FTQ au plan salarial. La Centrale des syndicats du Québec demande l’équivalent de 6 % sur trois ans.

L’entente de la FTQ prévoit 2 % d’augmentation par année pendant trois ans, en plus d’une modification de la structure salariale pour améliorer de façon plus marquée la rémunération des plus bas salariés.

La présidente de la CSQ, Sonia Éthier, compte bien « faire le point » au sujet de la négociation avec ses instances qui étaient déjà prévues cette semaine.

À la CSQ, la Fédération des syndicats de l’enseignement, qui négociait pour 73 000 enseignants du primaire et du secondaire, a déjà conclu une entente de principe avec Québec sur les conditions de travail, mais pas sur les salaires, qui sont négociés par sa centrale.

De son côté, la CSN ne tient pas pour acquis que les augmentations salariales qu’a acceptées la FTQ s’appliqueront à ses membres.

En entrevue lundi, la vice-présidente responsable de la négociation du secteur public à la CSN, Caroline Senneville, a souhaité attendre de voir les textes de l’entente de la FTQ avant de trancher.

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Permis ou pas en zone orange? - TVA Nouvelles

Le déconfinement se poursuit au Québec alors que plusieurs régions passent aujourd’hui en zone orange. 

• À lire aussi: Déconfinement à Québec: bienvenue en zone orange

Gyms: les gyms peuvent rouvrir, mais un registre des clients doit être tenu et le port du masque est obliastoire en en tout temps     

Salles à manger deux adultes maximum d’adresses différentes par table et leurs enfants mineurs. Pas de limite si de la même adresse.     

Écoles: les élèves de 3e, 4e et 5e secondaire pourront retourner en classe à temps plein

Salles de spectacles et cinémas: le nourriture et les boissons sont permises     

Rassemblements extérieurs privés: huit personnes d’adresses différentes ou tous les membres de deux résidences différentes peuvent se rassembler. La distanciation et le port du masque demeurent nécessaires,

Activités extérieures sans contacts: 12 personnes de résidences différentes ou plus de 12 de deux résidences peuvent pratiquer une activité. Le respect de la distanciation ou du port du masque sont essentiels.    

Résidences pour aînés sans éclosion: un seul proche aidant à la fois à est permis l’intérieur de la résidence et un maximum de trois par jou. Cinq personnes peuvent être à l’extérieur en même temps.

Lieux de culte: 100 personnes maximum peuvent être réunies dans un lieu de culte. Lors de funérailles ou de mariage, ce nombre passe à 25.

Le Bas-Saint-Laurent, à l’exception des MRC de Kamouraska, de Rivière-du-Loup, de Témiscouata et des Basques qui resteront au palier rouge

La Capitale-Nationale

Chaudière-Appalaches, à l’exception des MRC de Beauce-Sartigan, de L’Islet, de Montmagny et de Robert-Cliche qui resteront au palier rouge

L’Estrie, à l’exception de la MRC du Granit qui restera au palier rouge

Lanaudière

Les Laurentides

La Montérégie

L’Outaouais

Les régions de Montréal, Laval, les MRC de Kamouraska, Rivière-du-Loup, Témiscouata, des Basques, du Granit, Beauce-Sartigan, Robert-Cliche, Montmagny et L’Islet resteront au rouge au moins jusqu’au 7 juin.

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Passage en zone jaune: une «corrélation directe de la vaccination» - Le Nouvelliste - Groupe Capitales Médias

C’est ce qu’a confirmé le CIUSSS de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec dans son bilan quotidien rendu public en début d’après-midi. Il s’agissait du plus bas niveau atteint depuis le 15 mars, à la fin de la deuxième vague.

La tendance à la baisse se maintient depuis maintenant plus d’une semaine, alors que le nombre de nouveaux cas quotidiens a oscillé entre 11 et 18 au cours de la dernière semaine. Ce qui devrait faire baisser encore plus la moyenne de nouveaux cas par jour qui s’était établi à 21, lors du bilan hebdomadaire, mercredi dernier.

Le docteur Frédéric Picotte voit la situation d’un bon œil. «C’est très positif à mon sens. C’est une corrélation directe de la vaccination. En plus, la deuxième dose est devancée. C’est très encourageant», souligne-t-il.

«C’est sûr que le côté saisonnier du virus aide aussi, mais les gens ont besoin d’air, besoin de sortir. Malgré les variants, on réussit à prévenir les hospitalisation et les décès. Il reste encore du travail à faire pour les 50 ans et moins, mais on récolte le fruit de nos efforts», ajoute le médecin.

Le maire de Trois-Rivières Jean Lamarche abonde dans le même sens. «Je suis content de voir que les gens continuent à respecter les règles. C’est ensemble qu’on va se libérer.»

Il se réjouit par ailleurs que l’appel à la prudence pour les rassemblements ait visiblement été entendu par la population à la suite de la situation délicate survenue à l’île Saint-Quentin dans les derniers jours, alors que plusieurs avaient fait fi des mesures sanitaires.

«C’est rassurant de voir que les gens comprennent leur rôle. Je pense que tous ensemble, on a compris que la solution est collective», mentionne-t-il.

À Shawinigan, Michel Angers préfère garder la tête froide sur la possibilité de voir la région pâlir de couleur avant son temps. «Avec les statistiques que l’on présente, on devrait probablement déjà être en zone jaune. J’accueille cette possibilité avec une certaine réserve. Si notre semaine de grâce vient avant le 15 juin tel que prévu par le gouvernement, tant mieux», exprime le maire.

«Si ça se réalise [le passage au jaune], ce sera la concrétisation du travail de la Mauricie depuis bon nombre de semaines. Le jaune, ce serait très bon pour les réunions de famille, notamment. Ce n’est pas parce qu’on ne le mérite pas, en tout cas», a-t-il souri.

Avec seulement deux cas confirmés dimanche et 20 nouvelles guérisons, le nombre de cas actifs a continué de diminuer dans la région. Il est maintenant passé sous la barre des 150, alors qu’on en compte maintenant 42 en Mauricie et 102 au Centre-du-Québec. C’est également une diminution de près de 100 cas actifs en une semaine. 

Le nombre d’hospitalisations a également été à la baisse au cours des dernières heures. Il y avait en effet deux patients de moins à l’unité COVID pour un total de 12, dont deux aux soins intensifs.

Les différents services policiers n’ont pas noté de débordements au cours de la fin de semaine dans la région qui suivait le début du déconfinement. La Direction de la police de Trois-Rivières a surveillé d’un peu plus près la situation de la plage de l’île Saint-Quentin, en raison d’un rassemblement monstre qui s’était tenue lors de la Journée nationale des patriotes, mais n’a rien noté de particulier. Même chose du côté de la Sûreté du Québec qui n’avait pas d’événement majeur à signaler.

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Vaccin | Près de 3 millions de doses attendues au pays cette semaine - La Presse

(Ottawa) Le Canada devrait recevoir 2,9 millions de doses de vaccin contre la COVID-19 cette semaine, en grande partie grâce à une augmentation des livraisons prévues de Pfizer et BioNTech.

Lee Berthiaume
La Presse Canadienne

Les deux sociétés pharmaceutiques avaient livré environ 2 millions de doses par semaine au mois de mai, mais augmenteront ce chiffre à 2,4 millions de doses par semaine à partir de lundi.

Le gouvernement fédéral affirme que les 500 000 autres doses qui doivent arriver au cours des prochains jours proviendront de Moderna, qui fera une livraison en deux expéditions distinctes.

La première arrivera au milieu de la semaine tandis que la seconde est attendue la fin de semaine prochaine, pour une distribution aux provinces et territoires la semaine prochaine.

Le gouvernement s’attend également à 1 million de doses supplémentaires du vaccin Oxford-AstraZeneca d’ici la fin juin, bien qu’un calendrier de livraison détaillé n’ait pas été confirmé.

Le sort de plus de 300 000 doses de Johnson & Johnson qui ont été livrées pour la première fois en avril reste incertain. Santé Canada continue de revoir leur sécurité à la suite de préoccupations concernant une éventuelle contamination dans une installation de production de Baltimore.

L’arrivée de plus de doses de Pfizer-BioNTech et Moderna découle de la décision prise samedi par Santé Canada de prolonger d’un mois la date d’expiration de dizaines de milliers de doses d’AstraZeneca. De nombreux Canadiens se sont empressés pour obtenir une deuxième dose avant la date limite de péremption initiale du 31 mai.

L’organisme a souligné dans un communiqué que cette décision était étayée par de nombreuses preuves scientifiques.

Cette nouvelle a été annoncée alors que les pharmaciens et les médecins de l’Ontario prévoyaient travailler pendant la fin de semaine pour utiliser jusqu’à 45 000 doses expirant le 31 mai et 10 000 autres avec une date de péremption en juin.

Toutes les injections qui devaient expirer lundi peuvent désormais être utilisées jusqu’au 1er juillet, selon les nouvelles directives de Santé Canada.

Certaines provinces ont suspendu leur utilisation du vaccin Oxford-AstraZeneca en raison de problèmes d’approvisionnement et de préoccupations concernant un trouble rare de coagulation sanguine, mais qui peut être mortel.

Il y avait un peu plus de deux douzaines de cas confirmés de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) au Canada jeudi dernier, et 14 autres étaient sous enquête.

Cinq personnes sont décédées des suites de cette maladie, a rapporté l’Agence de la santé publique du Canada.

L’Ontario a repris l’utilisation du vaccin AstraZeneca pour les deuxièmes doses la semaine dernière, citant des données selon lesquelles le risque de développer une thrombose est nettement réduit avec la seconde injection du vaccin d’AstraZeneca.

Dimanche soir, les provinces ont déclaré avoir administré plus de 23 millions de doses, plus de la moitié de la population ayant reçu au moins une injection. Près de 2 millions de Canadiens, soit environ 5 % de la population, ont été entièrement vaccinés.

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Huit régions passent en zone orange lundi - La Presse

(Québec) Huit régions du Québec se réveillent en zone orange, lundi matin. Les populations de ces secteurs pourront profiter de nouveaux assouplissements pour la première fois depuis plusieurs mois.

La Presse Canadienne

Ce passage en zone orange concerne les régions de Lanaudière, des Laurentides, de l’Outaouais, de la Capitale-Nationale, de Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent, de la Montérégie et de l’Estrie.

Les habitants de ces régions peuvent se rassembler sur les terrains privés extérieurs sous certaines conditions et tous les élèves peuvent retourner en classe.

De plus, les sports et loisirs sans contact sont permis à l’intérieur dans les lieux publics ouverts. Les activités sportives à l’extérieur peuvent réunir au maximum 12 personnes et se dérouler également sans contact.

Les restaurants peuvent accueillir à nouveau leurs clients en salle à manger, mais à condition d’accepter au maximum deux adultes par table provenant d’adresses différentes. Les bars demeurent fermés, mais les lieux récréatifs ou touristiques peuvent accueillir des visiteurs.

Les déplacements interrégionaux entre les zones jaunes et orange ou rouge demeurent non recommandés.

Des exceptions s’appliquent toutefois à certains secteurs des nouvelles régions en zone orange. Dans Chaudière-Appalaches, les MRC de Montmagny, L’Islet, Robert-Cliche et Beauce-Sartigan sont exclues, tout comme la MRC du Granit, en Estrie.

Dans le cas de la région du Bas-Saint-Laurent, on passe en zone jaune, lundi, mais le changement de palier exclut les MRC de Kamouraska, Rivière-du-Loup, Témiscouata et Les Basques.

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Sunday, May 30, 2021

Deuxième dose : la vaccination sans rendez-vous connaît quelques ratés - Radio-Canada.ca

Des gens dans un centre de vaccination.

Face à l'engouement suscité par l'administration de deuxièmes doses du vaccin d’AstraZeneca, certaines cliniques sans rendez-vous ont connu des ratés.

Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

Radio-Canada

Face à l'engouement suscité par l'administration de deuxièmes doses du vaccin d’AstraZeneca, certaines cliniques sans rendez-vous se sont retrouvées débordées samedi et des centaines de personnes ont dû rebrousser chemin. La distribution de coupons de rendez-vous a toutefois permis de réguler l'affluence dimanche.

Des milliers de personnes se sont présentées cette fin de semaine dans les cliniques sans rendez-vous pour obtenir une deuxième dose du vaccin AstraZeneca. Elles ont fait la file au petit matin pour obtenir leur vaccin.

Prises au dépourvu par la forte affluence samedi, certaines cliniques sans rendez-vous n'ont néanmoins eu d'autre choix que de renvoyer des centaines d'intéressés chez eux pour les faire revenir le lendemain. Cela a notamment été le cas de la clinique de Salaberry-de-Valleyfield, sur le territoire du CISSS de la Montérégie-Ouest, où des aînés, majoritairement âgés de 70 ans et plus, sont repartis bredouilles après avoir attendu debout plusieurs heures.

Il y avait vraiment beaucoup de monde dans la file d'attente samedi. C'était la confusion samedi, c'était mal organisé. On nous a finalement distribué des billets pour revenir, a relaté Janice, une sexagénaire qui a attendu près de trois heures samedi avant de recevoir son fameux coupon. Elle a obtenu sa deuxième dose de vaccin dimanche matin.

Richard, 70 ans, s'est quant à lui plaint d'un manque total de communication. On a attendu des heures et personnes ne nous disait rien. Il y avait des gens en chaises roulantes, une énorme foule [...] tout le monde était un peu déboussolé... Pourquoi n'ont-ils pas fait des rendez-vous sur Clic Santé? a-t-il lancé.

Suffisamment de doses

Selon le personnel sur place, près de mille personnes se sont présentées samedi pour l'administration de la deuxième dose sans rendez-vous, sans compter les personnes qui venaient se faire vacciner pour leur première dose. Et la file était déjà longue avant même l'ouverture de la clinique.

Le directeur de la vaccination du CISSS de la Montérégie-​Ouest, Dominique Pilon, a cependant assuré lors d'une entrevue que les correctifs ont rapidement été apportés dès l'ouverture des portes, en ajoutant du personnel et en distribuant des coupons.

Tout était planifié, selon le directeur, mais il semble que la présence de nombreuses personnes avant l'ouverture a pris de court les organisateurs. Il fallait aussi s'assurer d'expliquer à tout le monde le fonctionnement, a ajouté le directeur, qui a cependant reconnu que le personnel aurait pu ouvrir les portes plus tôt afin de commencer à distribuer les coupons.

On a quand même bien conclu la journée de samedi, malgré la foule. Tout le monde est reparti soit avec un vaccin, soit avec un rendez-vous. On a suffisamment de vaccins pour les prochains jours de vaccination.

Une citation de :Dominique Pilon, directeur de la vaccination du CISSS de la Montérégie-​Ouest

Même scénario au quartier Dix30, à Brossard, où certains intéressés ont dû rebrousser chemin samedi, puisqu'ils n'avaient pu obtenir de coupons en matinée. Le CISSS a dû rappeler aux personnes présentes de ne pas se présenter à l'avance, mais à l'heure du rendez-vous.

Confusion sur l'intervalle entre les doses

Pour être admissible à l’administration des deuxièmes doses du vaccin AstraZeneca il faut être âgé de 45 ans et plus et avoir reçu une première dose du vaccin depuis au moins 8 semaines, soit avant le 3 avril. L'intervalle de temps entre les deux doses avait auparavant était fixé à 16 semaines (112 jours).

Néanmoins, lorsque les sites de vaccination risquent de perdre des doses de vaccin, il est permis d’administrer une deuxième dose d'AstraZeneca à une personne ayant reçu une première dose jusqu’à 28 jours avant, selon les informations du conseiller en communication du CIUSSS Est-de-Montréal, Christian Merciari. C'est pourquoi, cette fin de semaine, de nombreuses personnes ayant reçu leur première dose il y a plus de 28 jours ont été refusées en matinée, mais ont pu recevoir leur deuxième dose en fin de journée dans les cliniques sans rendez-vous.

La confusion semble toutefois demeurer puisque le CIUSSS du du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal confirme que son personnel autorise d'emblée l'administration d'une deuxième dose à partir de 28 jours, se basant sur le protocole d’immunisation du Québec.

Accès à la deuxième dose partout au Québec

Au site de vaccination du stade olympique, 1200 doses étaient disponibles samedi et dimanche, autant le seront lundi et mardi. Elles ont toutes été administrées samedi, mais selon le bilan du CIUSSS de l’Est de l’île de Montréal, environ 400 ont trouvé preneurs dimanche. Le Palais des congrès a également connu une journée moins achalandée que la veille, selon le CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal. 681 doses ont été administrées samedi.

À l’aréna Martin-Brodeur, arrondissement de Saint-Léonard, les 500 doses disponibles samedi ont aussi été administrées. 250 doses avaient été prévues dimanche, pus de 260 doses ont finalement été administrées. Au carré Décarie, dans le quartier Côte-des-Neiges, ce sont 485 doses qui étaient offertes samedi et des centaines d’autres le seront dans les prochains jours.

Selon le bilan du CISSS Montérégie-Centre, 735 personnes ont reçu leur deuxième dose au Dix30, dimanche, et 30 coupons ont été distribués pour le lendemain. La vaccination sans rendez-vous a été prolongée sur le site jusqu'à lundi, de 12 h 30 à 19 h 30. En Montérégie, d'autres sites seront dédiés à la vaccination cette semaine à Saint-Césaire et à Saint-Jean-sur-Richelieu.

L’engouement a été le même ailleurs dans la province, notamment à Trois-Rivières, où le personnel n’a pas été en mesure de prendre une pause pour dîner. Certaines personnes y ont attendu de deux à trois heures pour recevoir leur seconde dose. À Québec, toutes les doses avaient déjà trouvé preneurs à 10 h dimanche.

Environ 500 000 Québécois ont reçu une première dose d'AstraZeneca. Un million de doses supplémentaires du vaccin devraient arriver au Canada d’ici la fin juin.

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Deuxième dose : la vaccination sans rendez-vous connaît quelques ratés - Radio-Canada.ca
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L'enseignement à distance loin d'être une panacée, selon un syndicat - Le Journal de Montréal

L’enseignement à distance n’aura pas engendré les résultats souhaités, loin de là, démontre une récente recherche effectuée auprès des élèves et des enseignants.

Dix constats, obtenus à la suite d’une enquête effectuée auprès de 42 membres dans 17 syndicats différents, ont été présentés par la Fédération du personnel de l'enseignement privé (FPEP-CSQ) à la presse dimanche. Parmi les principaux, on dénote une moins bonne rétention des apprentissages par les élèves, une motivation diminuée pour l’apprentissage et une charge de travail augmentée pour les enseignants.

Pour la FPEP-CSQ, il est primordial de privilégier l’enseignement en présentiel et d’éviter l’alternance présence-distance pour les élèves, plus particulièrement ceux des deux premiers cycles du primaire.

Marie-Josée Dallaire, membre du comité exécutif, souhaite qu’on l’utilise uniquement dans des «circonstances exceptionnelles» telle une pandémie.

Mme Dallaire a noté une détresse importante chez les enseignants, pour qui «la fatigue était à un point extrême», dit-elle. Elle n’y aurait cependant pas eu de hausses des démissions chez les enseignants, qui seraient demeurés en poste en solidarité avec leurs élèves.

«On a vraiment exacerbé les problèmes déjà présents dans notre milieu. Que les gens soient surchargés, qu’on nous en demande trop, c’est une réalité dans le milieu de l’éducation. La pandémie a vraiment mis l’accent sur [ces] problèmes», juge Mme Dallaire.

Le syndicat estime, en parallèle, qu’il sera important de continuer à recueillir, dans les prochaines années, des données pour savoir et documenter dans quelles conditions les technologies peuvent avoir un impact positif sur l'engagement et la réussite scolaires des élèves.

Vaccination

Questionnée sur sa relation avec le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, la FPEP-CSQ a manifesté son incompréhension quant à la lenteur de la vaccination pour ses membres, ainsi que pour le manque de vérification de la qualité de l’air dans les milieux scolaires.

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Nouvelle convention collective pour les employés de Vidéotron - TVA Nouvelles

La majorité des employés syndiqués de la région de Montréal de Vidéotron ltée (SEVL-2815) ont accepté l’entente de principe proposée un mois plus tôt pour le renouvellement de leur convention collective.

• À lire aussi: Une entente de principe conclue pour les employés de Vidéotron

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Près de 88 % des membres ont voté en faveur d'un nouveau contrat d’une durée de sept ans qui offre des augmentations salariales de plus de 15 % sur cette période, avec deux années rétroactives.

«Nous sommes globalement très satisfaits du dénouement. Avec cette nouvelle convention collective, nous avons réussi à sécuriser nos emplois et à protéger nos acquis. De plus, nous sommes heureux du fait qu'il y avait une belle participation à l'assemblée générale virtuelle», a expliqué dimanche par voie de communiqué le président du SEVL-SCFP 2815, Nick Mingione.

Les modalités du télétravail ont également fait l’objet de négociations, en autorisant désormais la semaine de travail de quatre jours pour certains postes.

Cette entente arrive après deux ans de négociations entre les deux parties, l’employeur ayant dû demander une conciliation le 10 mars dernier afin de faire avancer le dossier. Les quelque 3000 salariés de Vidéotron étaient sans contrat de travail depuis décembre 2018.

«Grâce à cette entente, nous pourrons continuer à faire ce que nous faisons de mieux : offrir une expérience client unique et développer des solutions innovantes. Nos employés sont les piliers de Vidéotron et je suis fier que nous soyons résolument tous tournés vers l'avenir», a souligné Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Québecor.

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Nouvelle convention collective pour les employés de Vidéotron - TVA Nouvelles
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Convention collective | Entente entre Vidéotron et ses 3000 employés - La Presse

Les 3000 employés de Vidéotron ont entériné à 88 % l’entente de principe survenue avec l’employeur fin avril quant au renouvellement de leur convention collective.

La Presse Canadienne

Dans un communiqué publié dimanche, le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) affilié à la FTQ, a indiqué que le nouveau contrat « assure une paix industrielle chez le géant québécois des télécommunications jusqu’en 2025 ».

Nick Mingione, président du SEVL-SCFP 2815, s’est dit très satisfait du dénouement.

« Avec cette nouvelle convention collective, nous avons réussi à sécuriser nos emplois et à protéger nos acquis », a indiqué Nick Mingione.

Le syndicat a précisé que le contrat d’une durée de sept ans offre des augmentations salariales au-delà de 15 % sur cette période, incluant deux années rétroactives.

« Parmi les autres gains, mentionnons que nous avons conventionné les modalités du télétravail et nous avons négocié une entente pour une semaine de travail de quatre jours pour certaines fonctions », a indiqué Martin Larose, conseiller syndical du SCFP.

Les 3000 employés travaillent dans les centres d’appel, à la perception, à l’ingénierie ou sont des techniciens.

Selon le syndicat, le recours à la sous-traitance était « le nœud majeur » dans les discussions avec l’employeur.

En plus du recours à la sous-traitance, d’autres points en litige persistaient alors, touchant la protection des emplois, les assurances collectives et les salaires.

Le président et chef de la direction de Québecor, Pierre Karl Péladeau, a souligné que « ce fut un gros travail de négociations » au cours des deux dernières années.

« Grâce à cette entente, nous pourrons continuer à faire ce que nous faisons de mieux : offrir une expérience client unique et développer des solutions innovantes. Nos employés sont les piliers de Vidéotron et je suis fier que nous soyons résolument tous tournés vers l’avenir », a-t-il commenté dans un communiqué.

La précédente convention collective est échue depuis le 31 décembre 2018.

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Presque plus de cas à Québec, aucun au Bas-Saint-Laurent - Le Journal de Québec

La troisième vague de COVID-19 semble de plus en plus toucher à sa fin à Québec où à peine une poignée de nouveaux cas ont été détectés dans les dernières 24 heures, tandis qu’aucune infection n’a été recensée au Bas-Saint-Laurent.

• À lire aussi: COVID-19: 315 nouvelles infections et 2 décès de plus au Québec

• À lire aussi: Presque tout le Québec en zone orange dès lundi

Avec 19 nouvelles infections, la Capitale-Nationale continue à se maintenir sous la barre des 20 cas par jour, au lendemain de vastes célébrations dans les parcs de la ville à l’occasion de la levée du couvre-feu et à la veille du retour en zone orange. Aucun nouveau décès n’a été signalé dimanche.

En comparaison, la Capitale-Nationale enregistrait encore souvent plus de 30 cas par jour il y a à peine une semaine.

La plus grande amélioration a cependant été signalée au Bas-Saint-Laurent, où aucun test de dépistage n’a permis de détecter un cas de COVID-19 dans la dernière journée. Le nombre de nouveau décès est aussi demeuré à zéro dimanche, montrent les données du ministère de la Santé.

Il s’agit d’une belle victoire pour cette région, devenue pendant un temps l’une des plus touchées par le virus au Québec, en fonction de son nombre d’habitants. Le Bas-Saint-Laurent cumulait encore plus d’une vingtaine de cas par jour il y a à peine une semaine, un nombre qui s’est cependant affaissé très rapidement dans les derniers jours.

Malgré tout, la région sera scindée en deux dès lundi alors que la moitié ouest demeurera en zone rouge une semaine de plus, comme Montréal et Laval, tandis que la moitié est virera au orange.

Enfin, Chaudière-Appalaches a présenté un bilan cumulant 27 cas de plus, dimanche. La région, en raison de ses éclosions marquées en Beauce, demeure l’une des plus touchées par le virus dans les environs de Québec, bien que là aussi, on entrevoit la fin de la troisième vague alors que les indicateurs demeurent à la baisse.

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Enseignement à distance | La technologie ne motive pas autant les élèves que prévu, selon la FPEP - La Presse

L’usage des outils technologiques ne motive pas autant les élèves à apprendre dans un contexte d’enseignement à distance qu’en présence, a déclaré dimanche la Fédération du personnel de l’enseignement privé (FPEP) affiliée à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), à la lumière d’un rapport mené par l’organisation. L’école en ligne doit ainsi être balisée, selon la FPEP-CSQ.

Coralie Laplante
La Presse

Le rapport de la FPEP-CSQ, sous le thème de « L’écran nous déconnecte, l’enseignement à distance a des conséquences », dévoile 10 constats qui découlent d’entrevues avec des membres de l’organisation.

La fédération plaide que l’enseignement à distance doit être réglementé dans le but d’en limiter les effets négatifs, dont l’alourdissement de la tâche des enseignants, et la surexposition des élèves à l’écran, engendrant une fatigue importante.

« Nos travaux vont à l’encontre d’une certaine vision de chercheurs pour qui l’usage de la technologie aurait un effet de motivation sur les élèves. Notre enquête a démontré qu’à distance, cette hypothèse ne s’est pas avérée [vraie] », a déclaré d’emblée le président de la FPEP-CSQ, Stéphane Lapointe.

« À distance, les élèves sont désengagés et deviennent spectateurs de leurs apprentissages », a ajouté M. Lapointe.

L’école en ligne engendre plusieurs impacts négatifs autant chez les enseignants, que les étudiants, selon la FPEP-CSQ. La tâche des enseignants s’est notamment alourdie.

« On ne peut pas prendre une planification de cours et juste faire un copier-coller pour une plateforme numérique », a déclaré la vice-présidente de la FPEP-CSQ, Marie-Josée Dallaire.

L’enseignement à distance n’est « pas la voie à envisager », a évoqué Mme Dallaire, et doit uniquement être employé dans des cas exceptionnels.

La fédération plaide que l’école en ligne doit être réglementée par le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, dans le but d’en limiter les effets négatifs.

Plus de détails à venir.

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315 cas supplémentaires : le bilan s'allège | La Presse - La Presse

Le ministère de la Santé et des Services sociaux rapporte 315 nouveaux cas de COVID-19 au Québec dimanche. Un bilan qui recense 95 cas de moins que la veille, alors que de nouveaux assouplissements entreront en vigueur dans la province dès lundi.

Coralie Laplante
La Presse

Ce sont deux décès supplémentaires qui ont été recensés dimanche. La moyenne quotidienne de personnes succombant des suites de la COVID-19 calculée sur sept jours se chiffre dorénavant à trois personnes par jour.

En ce qui concerne le réseau de la santé, neuf hospitalisations de moins ont été indiquées, pour un total de 364. Un total de 90 personnes se trouvent actuellement aux soins intensifs, soit une de moins que la veille.

À ce jour, 370 043 personnes ont été atteintes du coronavirus dans la province. La moyenne quotidienne du nombre de cas de COVID-19 s’élève dorénavant à 381 cas par jour.

« C’est grâce aux efforts des Québécois des derniers mois et à la vaccination que nous pouvons maintenant faire des assouplissements. Continuons comme ça ! », a déclaré le ministre de la Santé, Christian Dubé, sur son compte Twitter, en soulignant que plusieurs régions passeront en zone orange lundi.

C’est à Montréal que l’on rapporte le plus grand nombre de nouveaux cas dans les dernières 24 heures, soit 105 personnes supplémentaires infectées par le virus. En Montérégie, 46 nouveaux cas ont été recensés. L’Estrie affiche 29 nouvelles infections, alors que le bilan monte de 27 personnes infectées dans Chaudière-Appalaches. À Laval, 23 cas de plus ont été rapportés.

Engouement pour la deuxième dose

La Presse a rapporté hier un fort engouement des Montréalais pour l’injection d’une deuxième dose du vaccin d’AstraZeneca. Ainsi, c’est 60 % de la population québécoise qui est vaccinée à ce jour.

Le rythme des injections contre la COVID-19 ne freine pas, comme tous les Québécois de 12 ans et plus peuvent maintenant tendre le bras. Le gouvernement provincial indique que 97 392 doses supplémentaires ont été administrées.

Dès lundi, plusieurs zones du Québec passeront du rouge à l’orange, soit la Capitale-Nationale, les Laurentides, Lanaudière, la Montérégie et l’Outaouais. Certaines portions de l’Estrie, Chaudière-Appalaches et du Bas-Saint-Laurent bénéficieront aussi de changement de couleur.

Le passage en zone orange entraînera des assouplissements de mesures sanitaires. Les restaurants pourront ouvrir les portes de leurs salles à manger intérieures, et les amateurs de sport pourront se réjouir de la réouverture des gyms. Les étudiants de 3e, 4e et 5secondaire retourneront aussi sur les bancs d’école à temps plein.

Toutefois, les régions de Montréal et de Laval demeureront en zone rouge jusqu’au 7 juin.

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315 cas supplémentaires : le bilan s'allège | La Presse - La Presse
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Les agents de bord d'Air Transat rejettent l'entente de principe - Radio-Canada.ca

Les agents de bord d'Air Transat ont rejeté pour une seconde fois une entente de principe qui était intervenue avec leur employeur qu...