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Friday, January 27, 2023

Sobriété énergétique: Québec serrera d'abord la vis aux entreprises - Le Journal de Québec

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  1. Sobriété énergétique: Québec serrera d'abord la vis aux entreprises  Le Journal de Québec
  2. Hydro-Québec | François Legault va revoir les tarifs des entreprises pour décarboner le Québec  La Presse
  3. Les industries polluantes pourraient être privées des bas tarifs d'Hydro-Québec  Radio-Canada.ca
  4. Besoins en énergie: «Il faut faire un meilleur travail», selon Fitzgibbon  Le Journal de Québec
  5. Hydro-Québec | François Legault va revoir les tarifs aux entreprises pour décarboner le Québec  La Presse
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Sobriété énergétique: Québec serrera d'abord la vis aux entreprises - Le Journal de Québec
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Les loyers bientôt plus chers pour les nouveaux locataires? - TVA Nouvelles

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  1. Les loyers bientôt plus chers pour les nouveaux locataires?  TVA Nouvelles
  2. Marché locatif | La crise du logement existe bel et bien  La Presse
  3. Zone économie | Immobilier : pénurie de logements  Radio-Canada Info
  4. Un organisme veut du concret pour étendre l'abordabilité du logement  TVA Nouvelles
  5. Le prix des loyers explosent avec un taux de logements inoccupés de 0 % à Drummondville : 2023 sera difficile pour le droit au logement, estime le FRAPRU  VINGT 55 Média web
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Les loyers bientôt plus chers pour les nouveaux locataires? - TVA Nouvelles
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Thursday, January 26, 2023

« Oubliez les baisses de taux avant très longtemps », dit Jean Boivin - La Presse

Oubliez les baisses de taux avant encore « très longtemps » car les taux continueront d’augmenter, prévient Jean Boivin, ex-sous-gouverneur de la Banque du Canada.

Aujourd’hui directeur général du BlackRock Investment Institute, Jean Boivin a lancé plusieurs avertissements jeudi en prononçant une allocution durant un évènement organisé jeudi par l’organisme CFA Montréal au centre-ville.

Devant plus de 500 gens d’affaires rassemblés pour l’occasion, Jean Boivin a affirmé que « la récession est la cure à cette maladie d’inflation ».

« On voit un tournant dans l’inflation. C’est positif », a-t-il dit. Mais il faut apprendre à composer avec l’inflation, prévient celui qui a déjà représenté le Canada au G7 et au G20. « Passer de 9 % à 6 % et de 6 % à 4 % sera relativement facile. »

Passer de 4 % à 2 % sera toutefois une autre paire de manches, selon lui.

Il n’y aura pas une ligne directe vers 2 %, dit-il. « Il y aura beaucoup plus à faire. Et ce n’est pas en ligne avec ce que l’on voit dans le marché. »

Du point de vue d’un banquier central, ce qu’il était dans un emploi précédent, « entre générer une récession pour ramener le taux d’inflation à 2 % ou risquer de perdre le contrôle de l’inflation et ma crédibilité, c’est un no-brainer. Les banquiers centraux vont choisir la récession ».

Le taux directeur de la Fed n’atteindra pas un sommet prochainement, pense Jean Boivin. Il ne croit donc pas à un début d’assouplissement monétaire cette année. Croire à une telle éventualité lui apparaît « incohérent ».

Il juge que les marchés sous-estiment probablement à nouveau la persistance de l’inflation. « Elle s’atténuera progressivement, mais elle restera supérieure aux attentes des marchés et aux cibles des banques centrales. »

Et ce n’est pas parce qu’il y aura une récession que les banques centrales seront en mesure d’y répondre, ajoute-t-il.

Ce n’est pas parce qu’on augmente les taux que les prix décident de baisser d’eux-mêmes. La raison pour laquelle les taux font baisser l’inflation, c’est à travers un ralentissement de l’activité économique.

Jean Boivin, directeur général du BlackRock Investment Institute

La Fed continuera donc à augmenter les taux, affirme-t-il. « Ce n’est pas terminé », dit Jean Boivin en parlant des hausses.

Il s’attend à une pause éventuellement plus tard cette année. Mais il insiste sur le fait qu’il s’agira d’une pause et non pas le début d’un cycle d’assouplissement. « Les banquiers centraux ne seront pas en mesure de procéder à un assouplissement avant encore très longtemps. Oubliez les baisses de taux avant très longtemps. »

Jean Boivin estime qu’il faut s’attendre à traverser une récession où l’inflation sera au-dessus de la cible des banquiers centraux, « une situation qu’on n’a pas vue depuis les 40 dernières années », souligne-t-il.

Également panéliste à l’évènement organisé jeudi midi, le vice-président, économiste en chef et stratège au Mouvement Desjardins, Jimmy Jean, se montre de son côté un peu plus encourageant. La Banque du Canada sera prête en fin d’année à amorcer « avec modération » un processus de normalisation monétaire, selon son scénario de base.

Il préconise néanmoins toujours une posture défensive même si les marchés boursiers ne sont plus surévalués. « Ils ne sont pas une aubaine pour autant », dit-il en regardant les ratios cours-bénéfices.

Indiquant au passage que les économistes ont tendance à sous-estimer l’ampleur d’une récession, Jimmy Jean souligne que les attentes de profits des entreprises demeurent plutôt optimistes alors que l’économie pourrait déjà être en récession. Les investisseurs font ainsi preuve de complaisance, selon lui. À son avis, le portrait va se détériorer cette année avant de s’améliorer. « Ça ira mieux en 2024 », conclut-il.

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« Oubliez les baisses de taux avant très longtemps », dit Jean Boivin - La Presse
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Wednesday, January 25, 2023

Le maire Bruno Marchand veut un TGV entre Québec et Toronto - Le Journal de Québec

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  1. Le maire Bruno Marchand veut un TGV entre Québec et Toronto  Le Journal de Québec
  2. Bruno Marchand veut un TGV entre Québec et Toronto  ICI Québec
  3. Bruno Marchand en faveur du TGV | La Presse  La Presse
  4. Marchand milite pour un TGV | La Capitale | Actualités  Le Soleil
  5. À Trois-Rivières, des appuis en faveur d'une option TGV  Radio-Canada.ca
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Le maire Bruno Marchand veut un TGV entre Québec et Toronto - Le Journal de Québec
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Un F-150 volé à Trois-Rivières retrouvé... au Cameroun - TVA Nouvelles

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Un F-150 volé à Trois-Rivières retrouvé... au Cameroun  TVA NouvellesAfficher la couverture complète sur Google Actualités
Un F-150 volé à Trois-Rivières retrouvé... au Cameroun - TVA Nouvelles
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Ruinés par leur nouvelle piscine: des installateurs avides d'argent les menacent - TVA Nouvelles

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Ruinés par leur nouvelle piscine: des installateurs avides d'argent les menacent  TVA NouvellesAfficher la couverture complète sur Google Actualités
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Tuesday, January 24, 2023

C'est pas moi, c'est l'auto - La Presse

Deux voitures entrent en collision. Bang ! Qui sera tenu responsable quand la plupart des voitures sur les routes seront automatisées et connectées ? Pour l’industrie de l’assurance, ces changements pas si lointains auront des conséquences importantes que l’Autorité des marchés financiers veut connaître.

Un comité consultatif sera constitué pour évaluer l’impact potentiel des véhicules automatisés et connectés sur le régime public d’assurance sans égard à la faute (no fault) et sur les assureurs privés, dont les activités sont régies par l’AMF.

Un appel de candidatures est donc lancé pour réunir 12 personnes du secteur public et privé qui sont invitées à réfléchir sur l’arrivée des véhicules automatisés et à proposer des solutions pour assurer la protection des consommateurs en matière d’assurance automobile.

L’adaptation des assureurs devient nécessaire parce que la responsabilité des accidents de voiture pourrait dorénavant être imputée aux constructeurs d’automobiles ou aux fournisseurs de logiciels, soulignait l’AMF dans un document de réflexion publiée l’an dernier.

Des enjeux inédits feront leur apparition, prévoit de son côté le Bureau d’assurance du Canada, comme la confidentialité et la protection des données personnelles qui seront enregistrées par les véhicules automatisés et connectés.

La technologie embarquée dans ces véhicules rendra les réparations et les remplacements plus coûteux, prévoient aussi les assureurs. Le piratage informatique et le défaut dans la mise à jour des logiciels feront aussi partie des risques nouveaux auxquels l’industrie sera confrontée.

Le comité que veut former l’AMF pour se pencher sur ces questions sera composé de représentants de l’Autorité et de 12 membres bénévoles dont l’expérience pourra alimenter la réflexion, dans un mandat initial de deux ans.

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Amazon lance un abonnement de 5$ par mois pour des médicaments illimités - TVA Nouvelles

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Monday, January 23, 2023

Ciblés par la droite américaine | M & M'S renonce à ses personnages - La Presse

(New York) Le confiseur M & M’S a renoncé à utiliser dans ses publicités, jusqu’à nouvel ordre, les fameux personnages rappelant la forme de ses bonbons chocolatés, critiqués par une partie de la droite conservatrice américaine, qui les juge politisés.

L’affaire avait débuté avec le lancement, en septembre, d’un nouveau membre de la famille des « spokescandies » (bonbons porte-parole), baptisé Purple (violet).

Il s’agissait du troisième personnage féminin de la bande, après Green (vert) et Brown (marron), créé, selon M & M’S, « pour représenter l’acceptation et l’inclusion ».

Le violet symbolise notamment le soutien à la communauté LGBTQ et l’expression de l’homosexualité.

L’arrivée de Purple avait suscité des critiques, des internautes reprochant à Mars Wrigley, maison mère de M & M’S, d’avoir politisé les bonbons chocolatés.

Selon eux, les personnages M & M’S étaient devenus « woke », mot qui désigne le militantisme contre toute forme de discrimination et d’exclusion visant une ou plusieurs minorités.

La polémique a rebondi début janvier avec la commercialisation d’un paquet spécial en édition limitée qui ne contenait que les trois couleurs des personnages féminins, soit vert, marron et violet.

Les « M & M’S ‟woke” sont de retour », s’est insurgé, peu après l’annonce, Tucker Carlson, l’un des présentateurs vedettes de la chaîne Fox News, connue pour les prises de position très conservatrices de plusieurs de ses stars.

Il a dit, sur un ton moqueur, que Green était « peut-être lesbienne » et que Purple était « obèse », en référence à sa forme ovale plutôt que ronde, proche de celle des M & M’S contenant une cacahuète.

En janvier 2022, Tucker Carlson s’était déjà saisi du sujet pour reprocher à M & M’S d’avoir remplacé les bottes blanches de Green par des baskets, ce qui la rendait « moins sexy ».

Évoquant ces changements, M & M’S a expliqué, dans un message publié lundi sur Twitter, qu’il ne s’attendait pas à ce qu’ils « bouleversent l’internet ».

« Mais maintenant, nous avons compris, a ajouté le confiseur, même les chaussures d’un bonbon peuvent susciter la polarisation. »

Or, « c’était la dernière chose que nous voulions, parce que notre objectif est de rassembler les gens », a indiqué M & M’S.

« De ce fait, nous avons décidé de mettre les personnages sur pause pour un temps indéterminé », a annoncé l’entreprise.

Les créatures animées vont être remplacées, dans les nouvelles campagnes publicitaires, par la comédienne et humoriste Maya Rudolph.

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Saturday, January 21, 2023

Les boutiques Bizou en faillite | La Presse - La Presse

Le mystère qui planait sur Bizou depuis quelques jours est maintenant résolu. L’entreprise a officiellement annoncé la faillite de ses 45 boutiques qui avaient été vidées et fermées en début de semaine.

Les gestionnaires de centres commerciaux n’avaient pas été prévenus. Ils ont eu la surprise de tomber sur des magasins déserts, lundi.

La direction de Bizou n’avait pas donné signe de vie depuis. Des journalistes se sont rendus au siège social de Sainte-Marie, en Beauce, mais personne ne s’y trouvait. Le maire de ville n’était au courant de rien.

L’entreprise fondée en 1982 attribue notamment ses problèmes financiers à l’augmentation des ventes en ligne et à une « diminution considérable de l’achalandage en centres commerciaux ».

« Malheureusement, les conséquences de la pandémie, comme la fermeture des magasins pendant plusieurs mois, l’augmentation des coûts d’exploitation et les défis d’approvisionnement des marchandises, ont ajouté une pression supplémentaire sur les liquidités », ajoute le communiqué écrit par la firme de relations publiques Brouillard Communication.

Les quelque 350 employés recevront tous une compensation via le Programme de protection des salariés (PPS) du gouvernement du Canada, précise-t-on. Le PPS est un programme d’Ottawa qui prévoit le versement du salaire et de certaines indemnités pour les vacances ou les commissions, par exemple, aux personnes dont l’employeur est en faillite.

Le communiqué mentionne que « les autres activités du groupe ne sont pas affectées par cette décision », et que « Bizou devra repositionner son modèle d’affaires et se concentrer sur d’autres canaux de vente ».

On y apprend aussi que le fondateur Marcel Labrecque est décédé « subitement » avril 2022, ce qui a été « un facteur déterminant » pour l’avenir de l’entreprise.

La direction a choisi de n’accorder aucune entrevue.

Les 45 boutiques étaient situées au Québec et au Nouveau-Brunswick.

L’entreprise avait eu recours à la Loi sur la faillite et l’insolvabilité en octobre 2020. Elle comptait alors 86 points de vente dans 4 provinces. En janvier 2021, la fermeture de 24 boutiques avait été annoncée. Le passif était alors de 9,5 millions de dollars.

Rectificatif : une version précédente de ce texte mentionnait Joey Labrecque comme fondateur de l’entreprise Bizou. Il s’agit plutôt de Marcel Labrecque. Nos excuses.

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Les boutiques Bizou en faillite | La Presse - La Presse
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Voici tout ce que vous devez savoir sur le retour du Salon de l'Auto de Montréal 2023 - Le Journal de Montréal

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  1. Voici tout ce que vous devez savoir sur le retour du Salon de l'Auto de Montréal 2023  Le Journal de Montréal
  2. Intérêt marqué pour les véhicules électriques au Salon de l'auto de Montréal  TVA Nouvelles
  3. Quelques nouveautés à voir au Salon de l'auto de Montréal 2023  RPM
  4. Salon de l'auto de Montréal 2023: un retour électrisant au Palais des congrès  Le Journal de Montréal
  5. Cinq véhicules électriques à essayer au Salon de l'auto  TVA Nouvelles
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Voici tout ce que vous devez savoir sur le retour du Salon de l'Auto de Montréal 2023 - Le Journal de Montréal
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Thursday, January 19, 2023

Tempête de la fin décembre | Une facture de 55 millions pour Hydro-Québec - La Presse

La tempête hivernale qui a frappé le Québec à la fin décembre, privant des milliers de Québécois d’électricité et entraînant de forts vents, aura coûté environ 55 millions à Hydro-Québec. Pas moins de 640 000 foyers ont été dans le noir, forçant le déploiement de 1200 employés pendant 8 jours.

C’est ce qu’a révélé la société d’État dans un bilan préliminaire jeudi matin, près d’un mois après cette tempête d’une rare intensité, avec des rafales allant jusqu’à 110 km/h, qui s’était échelonnée du matin du 23 décembre jusqu’au 25 décembre.

Environ 7530 pannes ont été recensées au total. Au plus fort de la crise, plus de 380 000 foyers québécois étaient simultanément plongés dans le noir, surtout dans les régions de l’Outaouais, des Laurentides et de la Capitale-Nationale. Plus de 500 poteaux d’alimentation et des centaines de transformateurs ont dû être remplacés, en plus d’une soixantaine de kilomètres de fils électriques qui ont dû être installés.

L’opération a nécessité des effectifs colossaux : 160 000 heures ont été réalisées par 1200 monteurs de ligne pendant 8 jours. Hydro-Québec affirme que le 26 décembre, soit environ 63 heures après le début de la tempête, « l’électricité était rétablie dans 85 % des foyers ». Le 27 décembre, 93 heures après les faits, la quasi-totalité des ménages – 95 % d’entre eux – avait retrouvé le courant.

D’ailleurs, la société d’État reconnaît que ces dizaines de milliers d’heures de travail supplémentaires « ont entraîné des reports de travaux prévus au calendrier et en entraîneront d’autres au cours des prochaines semaines ». « Notre personnel fera tout son possible pour minimiser les délais », affirme-t-on.

Éric Filion, vice-président exécutif d’Hydro-Québec, a rappelé jeudi que son organisation a déjà « doublé » ses investissements pour réduire la possibilité de pannes lors d’évènements d’envergure, en coupant les branches susceptibles de tomber sur les fils. « Bien que ces milliers de pannes soient imputables à des conditions météorologiques hors du commun, nous poursuivrons nos efforts dans l’avenir afin de maîtriser la végétation », a-t-il assuré.

15 millions de moins qu’en mai

En mai dernier, un front orageux de plus de 300 km de long, qui avait frappé le Québec et causé 11 254 pannes dans la province, avait coûté environ 70 millions à Hydro-Québec. Cet évènement représentait les travaux les plus importants sur le réseau électrique de la province depuis la crise du verglas, il y a plus de 20 ans, en 1998.

La tempête du mois de décembre « n’en était pas si loin non plus », affirme la porte-parole d’Hydro-Québec, Caroline Des Rosiers. Ce qui explique l’écart de 15 millions, dit-elle, c’est qu’en mai dernier, le front orageux était principalement localisé dans trois régions, ce qui a permis de faire appel à des entrepreneurs externes.

« Là, en décembre, on n’a pas pu faire un appel à l’externe, parce que c’était à la grandeur du Québec, donc on a dû composer avec nos équipes, ce qui a fait en sorte que ça a peut-être coûté moins cher. Cela dit, quand on peut, on fait appel à des équipes externes même si on sait que ça peut coûter cher », illustre-t-elle.

Dans une déclaration, la PDG sortante d’Hydro-Québec, Sophie Brochu, qui doit quitter son poste le 11 avril, a fait valoir jeudi que « la période des Fêtes est sans aucun doute un des pires moments de l’année pour être privé d’électricité ». « Nous en avons conscience et c’est pourquoi nous avons retroussé nos manches et travaillé sans relâche jusqu’à ce que tous les foyers soient rebranchés. Nos monteurs et monteuses de ligne ont répondu présent et présente encore une fois », a-t-elle affirmé.

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Tuesday, January 17, 2023

Canada | Baisse des ventes de maisons et de prix en 2023 - La Presse

L’Association canadienne de l’immobilier (ACI) s’attend à ce que les ventes de maisons diminuent de 0,5 % et à ce que les prix chutent de 5,9 % par rapport à 2022, dont le dernier mois a été marqué par un marché atone, les vendeurs et les acheteurs étant restés sur la touche.

Les prévisions de l’ACI visent un total de 495 858 transactions en 2023 et s’appuient sur des ventes « plus ou moins » stables depuis l’été, « ce qui laisse présager la fin de la diminution des ventes due à la hausse des taux d’intérêt et à des niveaux d’incertitude élevés ».

Les mêmes facteurs pèseront également sur le prix moyen des maisons, qui, selon l’ACI, atteindra 662 103 $ en 2023.

Pour 2024, l’ACI mise sur une hausse de 10,2 % des ventes de propriétés, alors que les marchés continueront de revenir à la normale, tandis qu’elle s’attend à ce que le prix national moyen des propriétés résidentielles augmente de 3,5 % de 2023 à 2024, pour atteindre environ 685 056 $ – un chiffre en dessous de celui de 2022, mais semblable à celui de 2021.

Les prédictions surviennent après une année mouvementée pour le logement au Canada. L’an 2022 a commencé avec des maisons qui changeaient de mains rapidement dans des marchés hyperactifs comme ceux de Vancouver et de Toronto, alors que les taux d’intérêt restaient bas.

Cependant, le printemps a vu des hausses de taux d’intérêt qui ont progressivement freiné les ventes, les vendeurs décidant de retirer leurs propriétés du marché pour attendre que les prix augmentent à nouveau et les acheteurs ayant décidé que leurs versements hypothécaires seraient trop élevés pour effectuer un achat.

« Les taux d’intérêt sont tout simplement trop élevés », a estimé Michelle Gilbert, courtière torontoise de Sage Real Estate.

« Beaucoup de personnes avec lesquelles je travaille sont des personnes qui doivent déménager, donc des personnes qui doivent se déplacer pour le travail […] ou qui doivent emménager dans une plus grande maison. »

Décembre « particulièrement lent »

Les investisseurs ont pour la plupart disparu, tout comme les acheteurs d’une première maison, faisant chuter les ventes de propriétés. En décembre, les transactions ont diminué de 39,1 % par rapport au même mois en 2021, a indiqué l’ACI.

Cependant, l’association a souligné que les ventes nationales de maisons en décembre 2022 avaient augmenté de 1,3 % par rapport à celles de novembre.

L’économiste en chef de BMO Marchés des capitaux, Doug Porter, a estimé que ces chiffres étaient un signe qu’il y a peu de ventes forcées en ce moment, ce qui contribue à soutenir les prix.

Cependant, il a mis en garde contre les prévisions qui ne s’appuient que sur un seul mois.

« L’activité immobilière a tendance à être plus calme en décembre et en janvier de toute façon, il n’est donc pas sage de trop tirer de conclusion au tournant de l’année », a-t-il écrit dans une note aux investisseurs.

« Mais ce décembre a été particulièrement lent, à la fois pour les ventes et, surtout, pour les nouvelles inscriptions à la vente. »

Le dernier mois de 2022 a également marqué une nouvelle dépression des prix. Le prix national moyen réel des maisons en décembre était de 626 318 $, en baisse de 12 % par rapport à celui du dernier mois de 2021.

Un marché de printemps en vue ?

Alors que sur la plupart des marchés, les prix ont baissé après avoir atteint un sommet au début de 2022, ils restent bien au-dessus de ce qu’ils étaient à l’été 2020, a ajouté l’ACI.

« Alors que nous nous tournons vers la saison cruciale des ventes printanières, la question primordiale est de savoir qui sortira de l’hibernation avec plus de force : les acheteurs ou les vendeurs ? », s’est demandé M. Porter.

Nous soupçonnons que le marché va encore digérer la montée rapide des taux d’intérêt et que les acheteurs seront plus réticents à réapparaître, ce qui devrait garder les prix sous pression pendant un certain temps encore.

Doug Porter, économiste en chef de BMO Marchés des capitaux

Mme Gilbert est d’accord et prédit que 2023 sera l’année où des vendeurs tenteront de mettre fin à l’impasse.

« Nous allons voir des vendeurs sortir de leur cachette parce que je ne pense pas qu’ils veuillent attendre que le marché ait atteint son plus bas niveau », a-t-elle fait valoir.

« Je pense que ça pourrait annoncer un marché de printemps. »

Cependant, elle a prévenu que les acheteurs seraient moins enclins à revenir sur le marché à moins que les hausses de taux d’intérêt ne s’atténuent ou que le taux directeur ne commence à baisser. La plupart des économistes s’attendent à ce que la Banque du Canada procède à au moins une autre hausse de taux, plus tard ce mois-ci, pour lutter contre une inflation obstinément élevée.

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Léger recul de l'inflation au Canada - Le Journal de Montréal

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  1. Léger recul de l'inflation au Canada  Le Journal de Montréal
  2. L'inflation au Canada ralentit à 6,3 % | La Presse  La Presse
  3. L'inflation passe à 6,3 % en décembre au pays  Radio-Canada.ca
  4. La pire inflation en 40 ans va laisser des traces  Le Journal de Montréal
  5. L'inflation des aliments reste élevée malgré les efforts pour la limiter  La Presse
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Léger recul de l'inflation au Canada - Le Journal de Montréal
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Monday, January 16, 2023

Saturday, January 14, 2023

Thursday, January 12, 2023

Perturbations des transports aériens | Le président de Sunwing présente ses excuses - La Presse

(Ottawa) Le président de Sunwing, Len Corrado, a offert ses excuses d’entrée de jeu en comité parlementaire jeudi aux passagers qui sont restés coincés au Mexique durant la période des Fêtes. Il a ensuite blâmé la météo, la difficulté de trouver des pilotes et les aéroports aux infrastructures déficientes.

« Permettez-moi de commencer par m’excuser de ne pas avoir livré le niveau de service auquel les Canadiens s’attendaient », a-t-il dit.

Sunwing, Air Canada et WestJet doivent s’expliquer en comité parlementaire jeudi sur leurs ratés après la tempête hivernale qui s’est abattue sur l’est et l’ouest du pays, quelques jours avant Noël.

M. Corrado a ensuite affirmé que Sunwing espérait un retour à la normale durant la période des Fêtes après deux années de pandémie et qu’un plan avait été élaboré pour répondre à la demande de voyages vers les destinations soleil. « Alors que plusieurs de nos clients ont pu profiter de leurs vacances sans être trop perturbés, nous avons eu ratés dans l’exécution pour lesquels nous sommes vraiment, vraiment désolés », a-t-il ajouté.

Des centaines de voyageurs se sont retrouvés coincés au Mexique pendant les vacances des Fêtes, après que Sunwing eut annulé leur vol de retour sans leur fournir d’information sur la date où ils pourraient rentrer à la maison.

Trois raisons expliquent ces ratés, selon M. Corrado : les tempêtes hivernales qui ont touché de nombreux aéroports partout au pays - dont celui de Vancouver qui a dû être carrément fermé -, la difficulté de trouver des pilotes et l’infrastructure déficiente dans certains aéroports qui ont causé d’autres retards. Celui de Vancouver a manqué de dégivreur pour les avions en plein cœur de la tempête, tandis que la courroie pour transporter les bagages à l’aéroport Pearson de Toronto était défectueuse.

Les représentants d’Air Canada et de WestJet ont également blâmé les « conditions météo extrêmes » pour les retards que leurs passagers ont connues durant la période des Fêtes. « Le 23 décembre, jour de voyage le plus occupé de l’année au Canada, toutes les provinces sauf une ont fait l’expérience d’avis de conditions météo extrême, a fait valoir le vice-président des affaires extérieures de WestJet, Andrew Gibbons. Ce n’est pas un hiver canadien régulier. »

Le NPD veut une nouvelle loi

Le traitement des voyageurs par les compagnies aériennes durant les vacances de Noël a permis encore une fois de constater que la charte pour les protéger ne fonctionne pas, selon le député néo-démocrate Taylor Bachrach.

L’élu de la Colombie-Britannique entend faire pression sur le ministre des Transports, Omar Alghabra, pour qu’il dépose un projet de loi afin d’adopter le même régime de protection des voyageurs aériens que l’Union européenne.

M. Alghabra fait également partie de la longue liste des témoins qui seront sur la sellette. Aéroports de Montréal, de même que les administrations aéroportuaires de Toronto et de Vancouver, répondront aussi aux questions des élus.

PHOTO JUSTIN TANG, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE

Omar Alghabra

« La réalité est que les attentes les plus élémentaires en matière de service à la clientèle n’ont pas été atteintes », a déploré M. Bachrach. Le ministre Alghabra aurait dû, à son avis, utiliser « les pouvoirs que lui confère la loi pour forcer les compagnies aériennes à faire mieux » au lieu de rester sur « le banc des joueurs ».

Il demande au ministre de déposer rapidement une nouvelle loi plus contraignante pour que « le paiement de compensations financières devienne la norme et non l’exception » et pour mettre les « droits des passagers avant les profits des grands transporteurs aériens ».

Le ministre Alghabra a affirmé sur les ondes de CBC samedi qu’il veut renforcer le Règlement sur la protection des passagers.

Cette Charte des voyageurs, qui est en vigueur depuis 2019, prévoit des indemnisations pouvant aller jusqu’à 1000 $ en cas de retard ou d’annulation d’un vol attribuable aux compagnies aériennes. Elles ont également l’obligation de fournir une mise à jour sur le statut de leur vol toutes les 30 minutes jusqu’à ce qu’une nouvelle heure de départ ait été fixée.

Depuis septembre, les transporteurs aériens ont également l’obligation de rembourser ou d’offrir une nouvelle réservation au choix du passager lorsqu’un vol est annulé ou retardé en raison d’une situation hors de son contrôle, comme la tempête du mois de décembre.

Or, le nombre de plaintes à l’Office des transports du Canada (OTC) a explosé depuis et dépassait 33 000 en date du 4 janvier.

« Aucun régime de protection dans le monde ne prévoit que les transporteurs aériens doivent être responsables de compensations financières en cas de force majeure », a affirmé le vice-président des relations gouvernementales d’Air Canada, David Rheault.

Les compagnies aériennes estiment également que leur fardeau devrait être partagé avec les autres acteurs de leur industrie, comme les administrations aéroportuaires et Nav Canada, qui contrôle le trafic aérien, qui sont parfois eux aussi responsables des retards vécus par les passagers.

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Wednesday, January 11, 2023

Le successeur de Sophie Brochu devra faire croître Hydro-Québec, dit François Legault - Le Journal de Québec

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  1. Le successeur de Sophie Brochu devra faire croître Hydro-Québec, dit François Legault  Le Journal de Québec
  2. Hydro-Québec | Legault veut un PDG en « mode développement »  La Presse
  3. Démission de Sophie Brochu : entrevue avec la PDG d'Hydro-Québec  Radio-Canada Info
  4. Pierre-Yves McSween | Sophie, j'aime Hydro, mais…  Noovo Info
  5. Quand Hydro-Québec perd son inspiration  Le Devoir
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Scandale FTX: Tom Brady parmi les plus grands perdants - Le Journal de Montréal

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  1. Scandale FTX: Tom Brady parmi les plus grands perdants  Le Journal de Montréal
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Scandale FTX: Tom Brady parmi les plus grands perdants - Le Journal de Montréal
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Tuesday, January 10, 2023

Défauts de paiement hypothécaire | Pas de hausse, assure le patron de la Banque Nationale - La Presse

(Montréal) Malgré la hausse des taux d’intérêt, les défauts de paiement hypothécaire sont demeurés à un seuil inférieur à ce qu’ils étaient avant la pandémie pour les clients de la Banque Nationale, a dit son président et chef de la direction, Laurent Ferreira, lors d’une conférence réunissant les grands patrons des grandes banques canadiennes.

M. Ferreira a précisé que l’institution financière montréalaise avait enregistré « une petite » augmentation des défauts de paiement pour les hypothèques à taux variable, mais que cette proportion était inférieure à ce qui était observé du côté des hypothèques à taux fixe et aux seuils d’avant la pandémie.

« Dans l’ensemble, quand nous regardons la performance de notre portefeuille de prêts et la capacité de nos clients de gérer des taux plus élevés, c’est très bon », a-t-il assuré, lundi, lors d’un échange avec l’analyste du secteur bancaire de RBC Marchés des capitaux, Darko Mihelic.

Questionné sur le sujet, M. Ferreira a indiqué que la taille des dépôts bancaires laissait entendre que les finances des ménages demeuraient « robustes », malgré la pression subie par la hausse des taux d’intérêt et l’augmentation du coût de la vie.

Il a mentionné que près du tiers des emprunteurs hypothécaires avaient augmenté leurs paiements hypothécaires en 2022, et que parmi eux 80 % ont un taux variable. « Si on regarde cette cohorte, ils ont toujours plus de liquidités qu’avant la pandémie. Maintenant, il s’agit des premiers paiements [à des taux plus élevés]. Est-ce que ça va s’éroder avec le temps ? Évidemment, mais ils vont être capables de soutenir le rythme. »

Le banquier a indiqué que 10 % du portefeuille de prêts hypothécaires à taux fixe arrivait à échéance dans les 12 prochains mois et qu’une bonne part des clients qui allaient renouveler avaient un prêt ayant une période d’amortissement inférieure à 25 ans.

Des clients fidèles ?

Aussi présente à l’évènement, la présidente et chef de la direction de la Banque Laurentienne, Rania Llewellyn, a dit qu’elle ne craignait pas que la hausse des taux d’intérêt nuise à la rétention des clients.

Plus de la moitié des clients de la banque ont un seul produit. Cette donnée représente une occasion pour la vente croisée d’autres produits et services, mais pourrait aussi représenter un risque dans un marché où les clients seraient enclins à magasiner plus activement leurs taux hypothécaires.

Questionnée sur le sujet, la dirigeante a souligné qu’environ 80 % des prêts hypothécaires de la banque sont à taux fixe. De ce lot, environ 70 % seront renouvelées seulement en 2025. « Pour nous, ça représente un faible risque de taux de roulement. »

La Banque Laurentienne a déployé une « équipe de fidélité » qui contacte les clients et leur propose de nouveaux produits. Mme Llewellyn estime que les efforts de cette équipe contribueront à retenir les clients et à augmenter le nombre de produits et services qu’ils ont avec la Laurentienne.

Pour les prêts aux entreprises, la dirigeante estime que la Laurentienne se démarque sur d’autres fronts que les prix. « Nous sommes très clairs. Nos clients le savent : nous ne concurrençons pas sur les prix, mais sur les services, et ça se reflète dans la satisfaction de la clientèle. »

Elle a réitéré qu’elle anticipait que la hausse des taux d’intérêt permette à l’institution financière d’augmenter ses revenus et ses marges d’intérêts.

Dans un contexte économique incertain, Mme Llewellyn a reconnu que la Banque Laurentienne adoptait une approche plus prudente en matière de réserve de capital.

La Banque Laurentienne doit maintenir un seuil minimal de réserve de capital de 7 %, mais la direction vise un seuil plus élevé à 8,5 %. À la fin de l’année, ce ratio est monté aux alentours de 9 %. Pour le moment, Mme Llewellyn n’envisage pas de déployer ce capital excédentaire.

« Compte tenu de l’affaiblissement des perspectives économiques, j’ai dit publiquement en septembre que même si notre cible est de 8,5 %, nous sommes plus confortables aux alentours de 9 % et c’est l’engagement que nous avons pris auprès des investisseurs. »

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Monday, January 9, 2023

Ventes records de voitures Rolls-Royce dans le monde - TVA Nouvelles

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Ventes records de voitures Rolls-Royce dans le monde  TVA NouvellesAfficher la couverture complète sur Google Actualités
Ventes records de voitures Rolls-Royce dans le monde - TVA Nouvelles
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Recul des prix des propriétés | Les acheteurs espèrent que la patience finira par payer - La Presse

(Toronto) Après l’escalade des prix des dernières années sur le marché immobilier, les acheteurs espèrent que la chance jouera en leur faveur en 2023.

La chance a peut-être déjà tourné : les prix ont reculé depuis le printemps dernier, les surenchères sont moins fréquentes et les économistes prévoient la fin des hausses du taux directeur de la Banque du Canada.

Ces hausses successives ont fait grimper la facture de l’hypothèque de plusieurs centaines de dollars, si ce n’est de plusieurs milliers de dollars.

« Cela nécessite du temps », lance Despina Zanganas, une courtière de Toronto.

Elle s’attend à ce que les gens qui ont retardé leur achat seront plus à l’aise cette année, maintenant qu’ils ont mieux assimilé la nouvelle réalité du marché immobilier.

« On s’y habitue, souligne Mme Zanganas. Les gens disent qu’ils n’ont plus à se lancer dans une guerre de surenchères et présenter des offres sans condition. Ils peuvent aujourd’hui présenter des offres conditionnelles, ce qui donne à plusieurs personnes une plus grande confiance. »

Un autre changement majeur pourrait apparaître à l’horizon. Des économistes ont prédit une récession en 2023, même s’il est encore trop tôt pour en juger la sévérité.

L’économiste principal de BMO Marché des capitaux, Douglas Porter, évalue de 25 % à 30 % les chances de voir l’économie canadienne éviter une récession. Les chances que l’économie ralentisse un peu sont de 50 % et celles d’une récession majeure sont de 20 % à 25 %.

« Cela aura une influence sur le marché immobilier, souligne-t-il. Moins l’économie sera perturbée, mieux se comportera le marché immobilier. »

Même aujourd’hui, juge-t-il, le marché immobilier est l’un des points faibles de l’économie, un phénomène que l’on n’avait pas observé depuis des années, sinon des décennies.

Selon lui, lorsque le présent cycle économique sera terminé, les prix des maisons auront dégringolé de 20 % à 25 %. Déjà, ceux-ci ont déjà chuté de près de 10 %.

L’Association canadienne de l’immobilier indiquait le mois dernier que le prix moyen d’une résidence s’élevait en novembre à 632 802 $, une baisse de 12 % comparativement au même mois l’année précédente.

La décroissance des prix a toutefois été contrebalancée par la hausse rapide du taux directeur de la Banque du Canada qui s’élève à l’heure actuelle à 4,25 %, un sommet depuis janvier 2008.

« Selon moi, les taux d’intérêt sont la principale histoire de l’année dernière. Ils seront le principal facteur affectant l’économie, et de loin, affirme M. Porter. La réaction, c’est la correction de prix à laquelle on assiste qui n’a pas compensé pour la hausse des taux d’intérêt. Je crois que le marché tente toujours de digérer cette augmentation. Cela ne se reflète pas encore sur les prix. »

Selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec, le prix moyen d’une maison unifamiliale s’élevait à 510 000 $ dans la région métropolitaine de Montréal, en baisse de 3 % par rapport au même mois de l’année précédente. Le prix médian était toutefois en hausse de 3 % dans la région métropolitaine de Québec.

La chute est plus importante dans le grand Toronto où le prix médian s’est établi à 1,05 million, une baisse de 9,2 %.

M. Porter convient qu’à cause de la nature imprévisible de la pandémie de COVID-19, il est difficile de prédire comment le marché immobilier se comportera.

« Le marché immobilier résiste mieux que prévu tout simplement parce que nous sommes dans un cycle inhabituel. Aucun économiste ne peut avoir une grande confiance en ses prévisions ces jours-ci à cause des nombreux aspects uniques actuels de l’économie. »

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Mont-Sainte-Anne: la station ouvre ses portes dès le 8 janvier - Le Journal de Québec

Le Mont-Sainte-Anne (MSA) réouvrira ses portes dimanche après que la régie du bâtiment du Québec (RBQ) ait autorité, samedi, la remise en service de quatre remontées mécaniques.

• À lire aussi: Sauvons le Mont-Sainte-Anne

• À lire aussi: Mont-Sainte-Anne: la RBQ demande plus d’informations avant un feu vert

Ainsi, les remontées mécaniques «L’Express du Sud», «L’Express du Nord», «La Panorama Express» et «La Tortue» pourront être remises en service alors que la remontée de «L’Étoile filante», où est survenue la chute d’une télécabine en décembre, demeure à l’arrêt.

«Nous espérons que tout le travail réalisé ainsi que les rapports externes qui font état de la sécurité de nos installations viendront atténuer les inquiétudes de nos visiteurs», a indiqué le directeur général et vice-présidente de la région de l’Est chez Resorts of the Canadian Rockies (RCR), Maxime Cretin.

Les abonnés qui profitaient temporairement du MSA des installations de la station de ski de Stoneham pourront en bénéficier pour une dernière fois dimanche. «Avec la réouverture du Mont-Sainte-Anne, l'accès ne sera plus permis dès le lundi 9 janvier sans abonnement aux sites», a précisé la station dans un communiqué.

Le 16 décembre dernier, la RBQ avait ordonné l’arrêt de toutes les remontées mécaniques du MSA, afin de s’assurer de sa sécurité après que deux incidents soient survenus en moins de deux ans. La RBQ a ainsi demandé que l’exploitant, RCR, lui fournisse tous les documents nécessaires pour analyser la sécurité des lieux.

«La station Mont-Sainte-Anne nous a fourni l'ensemble des preuves et exigences pour lever partiellement l'ordonnance concernant quatre remontées mécaniques aériennes. La réouverture de “L'Étoile filante” dépendra du rythme de réalisation des exigences prévues à l'ordonnance par l'exploitant», a déclaré Michel Beaudoin, président-directeur général de la RBQ par voie de communiqué.

«Toutes les vérifications et tous les essais ont été effectués sur l'ensemble des remontées aériennes visées et les exigences de l'ordonnance ont été remplies pour les quatre remontées autorisées par la Régie. Le processus de révision et de bonification des procédures d'opération selon les normes en vigueur, qui aura duré près d'un mois, vient assurer une culture de travail toujours plus sécuritaire et un engagement constant de nos équipes d'exploitation», a ajouté M. Cretin.

La RBQ exige notamment une attestation de sécurité signée par un ingénieur pour permettre la remise en marche de la remontée.Samedi matin, la remontée principale de la pente-école, «le tapis magique», n’était pas en opération en raison d’un bris.

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Enfin des fruits et légumes de chez nous: la production en serre croît rapidement au Québec - Le Journal de Québec

Manger des fruits et légumes du Québec à l’année est de plus en plus à notre portée grâce au développement accéléré de la culture en serre, qui commence à se diversifier. Et même si les prix peuvent être plus élevés que ceux des importations, les consommateurs sont au rendez-vous.

• À lire aussi: 46 millions $ accordés à l’entreprise Ferme d'Hiver pour quadrupler sa production

Myriam Fredette exploite une petite serre de fraises de 500 mètres carrés et vend quotidiennement ses fruits d’hiver à 14 $ le panier de 1,5 litre dans son kiosque en Montérégie. 

« C’est vraiment plus cher que les fraises importées, mais la qualité est meilleure ; on cueille le fruit à maturité », dit celle qui se fait courtiser par les épiceries, mais dont toute la production trouve preneur à son kiosque.

La fraise d’hiver est un des fruits en émergence dans la culture sous abri au Québec, stimulée par des aides gouvernementales de près de 100 millions $ d’ici 2025. Objectifs : doubler la superficie des serres et sécuriser l’approvisionnement alimentaire. De 120 hectares en 2020, la superficie de culture est passée à 180 hectares l’an dernier.

Pour produire 13 millions de kilos de fraises et remplacer 10 % des importations de Californie et du Mexique d’ici quelques années, Ferme d’Hiver a opté pour la production verticale, dans des installations où le climat, la lumière et la chaleur sont contrôlés à 100 %. L’entreprise a reçu en décembre un financement privé et public de 46 millions $ pour quadrupler sa production.

« On veut maintenir les prix le plus bas possible, alors il faut augmenter le rendement. Plus on va produire, plus on aura des prix compétitifs », explique Alain Brisebois, président et chef de la direction. 

La pression des prix

Le panier de fraises de 850 millilitres de la Ferme d’Hiver se vend au prix suggéré de 5,99 $, mais rien n’empêcherait un épicier d’aller au-delà. Chez Savoura, qui vient de doubler à 6 hectares sa production de fraises, le panier de 300 grammes se vend de 4,99 à 6,99 $. Produire à prix compétitif dans un marché inondé de produits de la Californie et du Mexique est un défi constant.

« Il y a deux éléments qu’on ne contrôlera jamais : l’hiver et les coûts de main-d’œuvre plus élevés qu’au Mexique, où un travailleur agricole gagne 5 $ par jour », précise André Michaud, porte-parole de Savoura et président d’Agro Québec. 

« Ça coûte plus cher produire au Québec. En revanche, il y a moins de distance à parcourir et nous pouvons offrir des produits plus frais, de qualité supérieure », souligne André Mousseau, président de l’association Les Producteurs en serre du Québec (PSQ).

Avec les connaissances et les technologies qui s’améliorent, puis avec les aides gouvernementales et le retour des tarifs préférentiels d’électricité, les producteurs en serre font des gains de productivité. Les consommateurs n’en bénéficieraient toutefois pas tellement.

« C’est celui qui paie qui décide des prix et on n’a pas beaucoup de jeu avec les chaînes d’alimentation. Les prix donnés aux producteurs pour leurs récoltes ont baissé de 15 à 20 % de 2021 à 2022, mais ce n’est pas ça en épicerie », se désole André Mousseau.

Gagner en force

L’association Les Producteurs en serre souhaite favoriser des regroupements afin de faciliter la commercialisation. Actuellement, les fruits et légumes de serre du Québec sont rarement mis de l’avant dans les promotions des chaînes d’alimentation, remarque André Mousseau, car un seul producteur n’est pas forcément capable de suffire à la demande. D’où l’importance d’imiter l’Ontario avec des regroupements de producteurs.

« Il y a des pénalités aux producteurs s’ils ne livrent pas autant que demandé, donc plus on fera de volume, mieux on répondra à la demande et plus les chaînes vont privilégier les produits du Québec », croit André Mousseau.

Diversifier l’offre

Les parts de marché des producteurs québécois dans le créneau des légumes et fruits de serre étaient de 30 % en 2020. Elles sont passées à 50 % l’an dernier, et la cible de 80 % devrait être dépassée en 2025, ce qui rendra le Québec plus autonome sur le plan alimentaire. La tomate compte pour 46 % de la production québécoise.

« L’industrie des serres est jeune ici. Savoura est né à la fin des années 1980. Les tomates, c’est là où on a le plus de connaissances et c’est pour ça que tout le monde en fait : c’est moins risqué », observe André Michaud. 

L’arrivée des poivrons, aubergines, laitues et autres variétés favorisera aussi une plus grande autonomie du Québec. L’Islande a déjà fait pousser des bananes en serre... alors qui sait ce que l’avenir nous réserve ? 

Légumes et fruits en serre cultivés au Québec 

LES SUPERFICIES

  • Tomates : 69 hectares
Fraise d'Hiver inc

Photo fournie par Demers

  • Concombres : 42 hectares
Fraise d'Hiver inc

Photo fournie par Toundra

  • Laitue : 15 hectares
Fraise d'Hiver inc

Photo fournie par Mirabel Laitue

  • Poivrons : 8 hectares
Fraise d'Hiver inc

Photo fournie par Demers

  • Autres (fraises, fines herbes, aubergines, etc.) : 17 hectares
Fraise d'Hiver inc

Photo fournie par Ferme d’Hiver

PRINCIPALES RÉGIONS PRODUCTRICES

  • Montérégie : 24 % des superficies
  • Laurentides : 20 %
  • Centre-du-Québec : 13 %

NOMBRE D’ENTREPRISES PRODUCTRICES DE FRUITS ET LÉGUMES EN SERRE AU QUÉBEC

  • 2019 : 499
  • 2020 : 547
  • 2021 : 625

QUATRE GRANDES ENTREPRISES GÉNÈRENT 80 % DE LA PRODUCTION

  • Savoura : tomates, concombres et fraises
  • Hydroserre : laitue, poivrons, concombres
  • Demers : tomates, fraises, poivrons, aubergines, framboises
  • Serres Royales : tomates

* Données du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, 2021

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