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Thursday, February 1, 2024

Les agents de bord d'Air Transat rejettent l'entente de principe - Radio-Canada.ca

Les agents de bord d'Air Transat ont rejeté pour une seconde fois une entente de principe qui était intervenue avec leur employeur quant au renouvellement de leur convention collective.

Quelque 2100 agents de bord, basés aux aéroports de Montréal et de Toronto, sont touchés par cette négociation. Ils sont membres d'une section locale du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), affilié à la FTQ.

Le SCFP indique jeudi que ses membres ont voté à 81,9 % contre l'entente de principe intervenue le 7 janvier.

Et le taux de participation est élevé, à 88,7 %, précise le SCFP.

Mandat de grève

Du même souffle, les syndiqués se sont dotés d'un autre mandat de grève, et ce, dans une proportion de 94,6 %. Aucune date n'a encore été fixée quant à son déclenchement; le mandat est valide jusqu'au 1er avril.

Ces syndiqués avaient déjà rejeté une première entente de principe qui était intervenue à la fin de l'année dernière, alors qu'une menace de grève planait pour le 3 janvier. Celle-ci n'a jamais été déclenchée.

Les parties étaient retournées à la table de négociation et étaient parvenues à cette seconde entente de principe, le 7 janvier, sans qu'une grève soit déclenchée.

Le syndicat souhaite maintenant retourner rapidement à la table de négociation avec l'employeur.

Le litige demeure quant à la rémunération des heures de travail au sol, avant les décollages et après les atterrissages. Le syndicat veut aussi négocier de meilleures clauses touchant les effectifs à bord des avions.

De son côté, la direction a insisté sur le fait qu'aucun avis de grève ou de lock-out n'avait été annoncé pour le moment. Elle se disait prête à retourner à la table de négociation une autre fois.

Nous négocions de bonne foi depuis le début du processus et avions inclus dans cette deuxième entente des améliorations notables au contrat de travail, ainsi que des hausses salariales généreuses et compétitives, fait savoir Julie Lamontagne, cheffe des ressources humaines, communications et responsabilité d'entreprise de Transat.

Nous sommes navrés de ce deuxième refus. Nous retournons à la table de négociation et notre objectif demeure de trouver un terrain d'entente à la satisfaction des deux parties dans les meilleurs délais.

Le syndicat n'a pas voulu émettre de commentaires afin de prioriser cette reprise des négociations.

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Wednesday, January 31, 2024

Pas de carboneutralité en 2050 sans le nucléaire, plaide Pierre Fitzgibbon - TVA Nouvelles

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  1. Pas de carboneutralité en 2050 sans le nucléaire, plaide Pierre Fitzgibbon  TVA Nouvelles
  2. Hydro-Québec : « Aucune barrière majeure au redémarrage de Gentilly-2 »  Radio-Canada.ca
  3. Rien n'empêche le redémarrage de la centrale nucléaire Gentilly-2  Mon Victo
  4. Gentilly-2: met-on la table pour un retour au nucléaire?  La Voix de l'Est
  5. QUESTION DU JOUR | Besoins énergétiques: doit-on envisager de redémarrer la centrale nucléaire Gentilly-2?  Noovo Info

Pas de carboneutralité en 2050 sans le nucléaire, plaide Pierre Fitzgibbon - TVA Nouvelles
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Ottawa évoque une éventuelle aide à CBC/Radio-Canada - La Presse

(Ottawa) Ottawa envisage de venir en aide à CBC/Radio-Canada alors que le diffuseur public projette des compressions majeures, notamment la suppression de 10 % de ses effectifs, afin de combler un déficit budgétaire de 125 millions.

« Par les années passées, on a mis de l’argent dans CBC/Radio-Canada pour combler le déficit structurel. Donc il y a une décision budgétaire aussi qui va venir », a déclaré la ministre du Patrimoine canadien, Pascale St-Onge, à son arrivée à la réunion du caucus libéral, à Ottawa.

Au gouvernement, on indique avoir versé une aide supplémentaire de 21 millions pour chacune des trois dernières années.

Mme St-Onge a également mentionné qu’« une décision est en attente » à savoir si et à quel point la société d’État sera touchée par les économies de 3 % qu’Ottawa annonçait dans son dernier budget vouloir trouver dans les ministères et organismes.

« Quand on va être prêt à dire qu’est-ce qui va arriver du côté de CBC/Radio-Canada, on va le faire », s’est contentée de mentionner la ministre.

PHOTO ADRIAN WYLD, LA PRESSE CANADIENNE

La PDG de CBC/Radio-Canada Catherine Tait

Devant un comité parlementaire, mardi, la présidente-directrice générale du radiodiffuseur public, Catherine Tait, avait refusé d’écarter que des bonis soient versés aux cadres pour l’année courante.

Questionné à ce sujet, dans le foyer de la Chambre des communes, le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, n’y est pas allé par quatre chemins. « Je pense qu’elle devrait se faire montrer la porte », a-t-il simplement répondu.

Mme St-Onge, qui s’est présentée quelques instants plus tard devant les journalistes, n’a pas voulu réitérer sa confiance dans la PDG, mais a néanmoins jugé que « Mme Tait a un rôle à jouer » dans la période difficile que le diffuseur public traverse comme « l’ensemble des médias canadiens ».

Dans un courriel à La Presse Canadienne, CBC/Radio-Canada a indiqué que la réduction des dépenses de 3 % représente 38 millions à terme dans trois ans.

Les bloquistes et les néo-démocrates estiment que le diffuseur public doit être exempté des compressions de 3 %.

Les conservateurs ont évité de se prononcer sur la question, mais promettent d’abolir le financement public du réseau anglais et de transformer son siège social de Toronto en logements s’ils sont portés au pouvoir.

Et alors que des décisions sont à être prises, le gouvernement libéral réitère qu’il souhaite redéfinir le mandat de CBC/Radio-Canada avant les prochaines élections afin de prémunir le radiodiffuseur public contre un éventuel changement de gouvernement à Ottawa.

Encore mercredi, la ministre St-Onge insistait sur le « déficit structurel annuel » qu’encaisse le diffuseur public, notamment en raison de la baisse des revenus publicitaires. « Donc moi, je me projette vers l’avenir pour assurer la durabilité », a-t-elle dit.

CBC/Radio-Canada a annoncé au début décembre la suppression de 600 emplois et l’abolition de 200 postes vacants. La société d’État estime que cela permettra d’épargner 60 millions. Le reste du déficit serait absorbé par des compressions de 25 millions dans des dépenses discrétionnaires et 40 millions des productions indépendantes.

Au gouvernement fédéral, des sources avaient indiqué que les compressions étaient « prématurées », voire « un peu ridicules ». Elles laissaient entendre que CBC/Radio-Canada n’a « aucune indication » que son budget serait amputé.

En tant que société d’État, CBC/Radio-Canada fonctionne indépendamment du Parlement. Le diffuseur reçoit environ un milliard de dollars de financement fédéral chaque année.

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Commerce avec les É-U : les libéraux fédéraux défendent le français... mais pas la loi 96 - Le Journal de Montréal

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  1. Commerce avec les É-U : les libéraux fédéraux défendent le français... mais pas la loi 96  Le Journal de Montréal
  2. Le chef bloquiste écrit au secrétaire d'État américain  Radio-Canada.ca
  3. Blanchet défend l'affichage en français dans une lettre au secrétaire d'État américain  Le Devoir
  4. Les États-Unis partagent leurs préoccupations concernant la loi 96  TVA Nouvelles
  5. Affichage en français: les Américains n'ont qu'à «s'adapter», dit Rodriguez  Le Quotidien

Commerce avec les É-U : les libéraux fédéraux défendent le français... mais pas la loi 96 - Le Journal de Montréal
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Tuesday, January 30, 2024

Un projet de loi aux conséquences «intenables», selon le Conseil du patronat - Le Devoir

Le Conseil du patronat du Québec (CPQ) estime que le nouveau projet de loi visant à combattre le harcèlement psychologique et la violence àcaractère sexuel au travail aura des conséquences « intenables » pour les employeurs du Québec.

L’organisation fait partie de la vingtaine de personnes et d’organismes qui participent, de mardi à jeudi, aux consultations sur le projet de loi 42 à l’Assemblée nationale. Le CPQ est en accord avec l’objectif du projet de loi, qui est de mieux protéger les travailleurs, a tenu à préciser Marie-Claude Perreault, sa vice-présidente au travail, à la santé-sécurité et aux affaires juridiques. Toutefois, elle juge que certaines dispositions seront un fardeau pour les entreprises, alors que d’autres les empêcheront de défendre leurs droits.

Me Perreault s’inquiète particulièrement du fait qu’une blessure ou une maladie d’un travailleur soit maintenant automatiquement considérée comme résultant de son travail dès qu’il a subi de la violence à caractère sexuel « commise par son employeur, l’un des dirigeants de ce dernier […] ou l’un des travailleurs dont les services sont utilisés par cet employeur aux fins d’un même établissement, sauf si cette violence survient dans un contexte strictement privé », indique l’article 4 du projet de loi. 

« Avant, il fallait faire la preuve qu’une personne avait été victime d’un événement survenu sur les lieux de travail et qui avait entraîné la maladie », explique Me Perreault. S’il devait cesser de travailler, l’employé pouvait alors avoir droit à des prestations pour lésion professionnelle, payées en partie par l’employeur.

La représentante du CPQ estime qu’elle ne serait pas en mesure de faire la preuve d’un contexte strictement privé. « Il arrive fréquemment qu’une situation de harcèlement découle d’une relation entamée de façon privée et qu’elle se répercute ensuite de différentes manières », indique Me Perreault.

Confidentialité accrue

Un autre élément qui dérange le CPQ est le retrait de l’accès de l’employeur au dossier médical des travailleurs qui reçoivent ou doivent recevoir des indemnités en raison d’une lésion professionnelle. Actuellement, les informations que l’employeur peut obtenir lui permettent de contester divers éléments, comme la cause de la maladie ou de la blessure, l’incapacité de la personne à faire son travail et la durée de la lésion.

Conformément au projet de loi 42, l’employeur devra faire appel à un professionnel de la santé qui pourra lui communiquer « les informations nécessaires » à l’exercice de ses droits. 

« Ça veut dire que le médecin désigné va devoir analyser chaque ligne du dossier pour déterminer quelles sont les informations nécessaires. Et il est passible d’une amende de 5000 $ s’il va trop loin », affirme Me Perreault, estimant qu’il sera pratiquement impossible de trouver des médecins pour faire cette tâche.

Cette dernière dit comprendre l’intention d’accorder une confidentialité accrue au dossier médical des victimes de violence à caractère sexuel. Elle déplore toutefois que cette nouvelle disposition s’applique à tous les types de lésions et de situations.

Un modèle de politique de prévention 

Le projet de loi détaille aussi les grandes lignes du contenu de la politique devant obligatoirement être adoptée par chaque milieu de travail pour prévenir et prendre en charge le harcèlement psychologique. Cette politique devra, par exemple, prévoir des « programmes d’information et de formation », un « processus de prise en charge d’une situation de harcèlement » et des « mesures visant à assurer la confidentialité d’une plainte ». Marie-Claude Perreault estime que ce modèle pourrait ne pas convenir à tous les milieux de travail.

Par ailleurs, les nouvelles obligations pourraient obliger les employeurs, dont la majorité ont déjà leur propre politique, à faire un travail supplémentaire pour la réviser. 

« Ça s’ajoute à plusieurs nouvelles obligations que les employeurs se sont récemment vu imposer. On a eu la modification de la protection des renseignements personnels, la loi sur la Charte de la langue française et tout le régime modernisant la santé-sécurité », rappelle Me Perreault.

À voir en vidéo

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Toyota: des voitures rappelées d'urgence pour un risque d'explosion avec les coussins gonflables - TVA Nouvelles

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Toyota: des voitures rappelées d'urgence pour un risque d'explosion avec les coussins gonflables  TVA NouvellesAfficher la couverture complète sur Google Actualités
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Les agents de bord d'Air Transat rejettent l'entente de principe - Radio-Canada.ca

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