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Tuesday, October 31, 2023

Le plus vieux restaurant de Québec est à vendre - Le Journal de Québec

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  1. Le plus vieux restaurant de Québec est à vendre  Le Journal de Québec
  2. Le plus vieux restaurant de Québec se cherche un nouveau propriétaire  Les Maisons
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Le plus vieux restaurant de Québec est à vendre - Le Journal de Québec
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Pannes dans le REM: des usagers demandent un plan B pour l'hiver - Le Journal de Montréal

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  1. Pannes dans le REM: des usagers demandent un plan B pour l'hiver  Le Journal de Montréal
  2. Pannes dans le REM | La communication aux usagers est déficiente, avoue CDPQ Infra  La Presse
  3. Pannes dans le REM: pas normal que les usagers soient laissés dans le néant, selon Guilbault  Le Journal de Québec
  4. Problèmes techniques: le service du REM interrompu  Le Journal de Montréal
  5. Pannes dans le REM | « C'est inacceptable de laisser les citoyens dans le néant »  La Presse
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Pannes dans le REM: des usagers demandent un plan B pour l'hiver - Le Journal de Montréal
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Agression sanglante après une chicane entre deux employés dans un Maxi de Rosemont–La Petite-Patrie - Le Journal de Montréal

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Agression sanglante après une chicane entre deux employés dans un Maxi de Rosemont–La Petite-Patrie  Le Journal de Montréal
Agression sanglante après une chicane entre deux employés dans un Maxi de Rosemont–La Petite-Patrie - Le Journal de Montréal
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Monday, October 30, 2023

Air Canada au troisième trimestre | Un profit milliardaire sur fond de négociations - La Presse

Air Canada n’a pas seulement les yeux rivés sur la demande pour les billets d’avion par les temps qui courent. Le plus important transporteur au pays doit aussi s’entendre avec ses 5000 pilotes, qui exigent un important rééquilibrage vis-à-vis leurs confrères américains.

Le troisième trimestre – qui coïncidait avec la saison estivale – terminé le 30 septembre dernier s’est soldé par une augmentation de 17 % des salaires en raison d’une augmentation de l’effectif global. Ce poste de dépense est appelé à croître avec les demandes des pilotes. En conférence avec les analystes financiers pour commenter la performance des mois de juillet, août et septembre, lundi, le président et chef de la direction d’Air Canada, Michael Rousseau, s’est montré réticent à commenter l’état des négociations avec l’Association des pilotes de ligne (ALPA).

« WestJet a conclu une entente plus tôt cette année et cela correspondait à nos attentes, a-t-il dit, lorsqu’interrogé par un analyste. Je crois que c’est le plus loin que nous pouvons aller. »

Annoncé en mai dernier, l’accord intervenu entre le transporteur albertain et syndiqués prévoit sur des augmentations de 24 % échelonnées sur quatre ans. L’ALPA estime qu’Air Canada joue dans la cour des grands, aux côtés de Delta Air Lines, United Airlines et American Airlines. Les hausses consenties aux pilotes de ces trois compagnies américaines variaient entre 34 et 40 % sur quatre ans.

L’ALPA n’a pas chiffré ses demandes dans le cadre des pourparlers avec Air Canada, mais il est permis de croire que ce qui a été annoncé au sud de la frontière constitue un point de départ.

En négociation

Il y a un mois que le contrat de travail des 5000 pilotes d’Air Canada est venu à échéance. À l’aéroport Montréal-Trudeau, lundi matin, quelque 230 membres de l’ALPA – des pilotes d’Air Canada appuyés par des collèges d’autres compagnies – ont manifesté pour accroître la pression à l’endroit de la compagnie établie dans la métropole. Des rassemblements similaires ont également eu lieu aux aéroports Pearson (Toronto) et de Calgary depuis un mois.

PHOTO FOURNIE PAR L’ALPA

Des membres de l’ALPA, qui représente les pilotes d’Air Canada, qui manifestent à l’aéroport Montréal-Trudeau.

« Air Canada a pu profiter du contrat (de travail) de 10 ans que nous avions conclu et qui nous a placé à la traîne dans l’industrie, explique à La Presse Hugo Desrochers, pilote pour Air Canada et vice-président du conseil local montréalais pour l’ALPA. Il est temps de réduire le fossé avec nos confrères américains. »

Les pilotes du transporteur canadien ont obtenu une hausse de salaire annuelle de 2 % au cours de la dernière décennie. De plus, les plus récents résultats trimestriels de la compagnie aérienne démontrent qu’elle s’est relevée de la pandémie, affirme M. Desrochers. Il ajoute qu’au plus fort de la crise sanitaire, les pilotes d’Air Canada ont aussi fait leur part pendant la crise sanitaire en « baissant nos salaires. »

Les discussions entre l’ALPA et l’employeur se poursuivent. Avec les analystes financiers, M. Rousseau a souligné qu’il était difficile de s’avancer sur un moment où un accord pourrait intervenir.

Une demande vigoureuse

Chose certaine, le contexte actuel risque de jouer en faveur du syndicat. Après un été vigoureux, les consommateurs semblent toujours prêts à dépenser pour voyager en dépit de l’augmentation des taux d’intérêt et du ralentissement économique.

« Les réservations correspondent aux attentes, a souligné le vice-président de la planification du réseau chez Air Canada, Mark Galardo. Nous n’entrevoyons pas de ralentissement majeur en ce moment. La demande est forte dans presque tous les segments et les régions où nous sommes présents. »

En plus de livrer des résultats supérieurs aux attentes des analystes au troisième trimestre, Air Canada a laissé entendre que la performance devrait également être au rendez-vous pendant les mois d’octobre, novembre et décembre. Sa haute direction s’attend à atteindre la « partie supérieure » de sa fourchette de prévisions pour l’exercice en cours.

Le bénéfice d’exploitation ajusté devrait ainsi frôler les 4 milliards.

« Malgré les préoccupations du marché concernant l’incertitude économique, l’intensification de la concurrence (principalement sur le marché domestique) et l’augmentation des prix du carburant, nous estimons que les conditions de marché (une demande vigoureuse alors que la capacité reste limitée dans l’industrie) se maintiendront », croit l’analyste Cameron Doerksen, de la Financière Banque Nationale.

La performance trimestrielle de la compagnie aérienne ne semblait toutefois pas convaincre les investisseurs. En milieu de séance, lundi, à la Bourse de Toronto, son action retraitait de 1,85 %, ou 31 cents, pour se négocier à 16,41 $.

En savoir plus
  • 90 %
    Coefficient d’occupation des avions d’Air Canada au troisième trimestre.
    Air Canada

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Sunday, October 29, 2023

Voie maritime du Saint-Laurent | La fin de la grève attendue après une entente entre les parties - La Presse

(Montréal) La grève ayant débuté le 22 octobre dernier dans la voie maritime du Saint-Laurent pourrait prendre fin sous peu, alors que la Corporation de Gestion de la Voie Maritime du Saint-Laurent (CGVMSL) et le syndicat représentant les 360 employés concernés sont parvenus à une entente, dimanche.

Les deux parties en ont fait l’annonce séparément par communiqué en milieu de soirée, dimanche.

« Nous avons en main une entente qui est équitable pour les travailleurs et qui assure un avenir solide et stable à la Voie Maritime », a déclaré Terence Bowles, président et chef de la direction de la CGVMSL, dans le communiqué de la partie patronale.

« Nous savons que cette grève n’a pas été facile pour personne et apprécions la patience et la coopération de nos partenaires binationaux de l’industrie maritime, les armateurs, les expéditeurs, les ports, les communautés locales et tous ceux qui dépendent de ce corridor de transport vital des deux côtés de la frontière canado-américaine ».

La Corporation n’était pas disponible pour accorder une entrevue en soirée, dimanche, indiquant notamment que comme l’entente devra être ratifiée cette semaine par les employés, « il serait inapproprié d’en partager les détails ».

Le vice-président, relations externes, de l’organisation, Jean Aubry-Morin, a toutefois précisé dans un courriel que l’accord « est à la fois équitable pour les travailleurs et assure un avenir solide et stable à la Voie maritime. »

Les quelque 360 employés sont représentés par Unifor. Cinq sections locales du syndicat Unifor, deux au Québec et trois en Ontario, avaient déclenché la grève, dimanche dernier, après avoir voté en faveur d’un tel mandat dans une proportion de 99 %.

Les travailleurs auront à se prononcer sur cette entente au cours des prochains jours. Les unités concernées touchent les employés qui travaillent dans le groupe de la supervision et de l’ingénierie et dans le groupe de l’entretien, des opérations et du personnel de bureau.

« Pour la première fois en 55 ans, les travailleuses et travailleurs de la voie maritime ont pris la difficile décision de faire grève. Ils l’ont fait pour lutter pour un environnement de travail plus respectueux et pour un contrat qui reflète la situation économique actuelle, a déclaré Lana Payne, présidente nationale d’Unifor, dans un communiqué. Ils ont montré que la meilleure entente est obtenue à la table de négociation, et je félicite les comités de négociations pour leur travail remarquable au nom de leurs membres ».

Le salaire était le principal point en litige.

Pour sa part, la CGVMSL a indiqué qu’elle entreprendra rapidement la mise en œuvre de son programme de réouverture afin que les employés puissent reprendre le travail ce lundi à 7 heures pour permettre le passage progressif des navires dans la voie maritime.

L’entente survient après deux jours de médiation, entamée vendredi à Toronto. Les parties étaient réunies en compagnie du service fédéral de médiation, dans l’espoir de trouver un règlement au conflit qui a paralysé la voie maritime du Saint-Laurent, de Montréal à Niagara, en passant par les écluses, pendant une semaine.

Plusieurs acteurs économiques et politiques s’étaient prononcés dans le dossier depuis dimanche dernier : les premiers ministres du Québec et de l’Ontario, François Legault et Doug Ford, le syndicat des Producteurs de grains du Québec et des associations du milieu des affaires.

« Reconnaissant que cette grève n’a été facile pour personne, nous apprécions grandement la patience et la coopération de nos partenaires binationaux de l’industrie maritime ; les transporteurs, les expéditeurs, les ports, les communautés locales et tous ceux qui dépendent de ce corridor de transport vital des deux côtés de la frontière canado-américaine », a indiqué M. Aubry-Morin dans un courriel.

avec des informations de Lia Lévesque, La Presse Canadienne

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Les consommateurs surestiment les éventuelles baisses de taux, croient des experts - Radio-Canada.ca

Alors que les taux d'intérêt sont probablement à leur sommet ou presque au Canada, des experts préviennent que les consommateurs ne devraient pas s'attendre à ce que les taux reviennent aux niveaux d'avant la pandémie.

La banque centrale est plus susceptible de ramener son taux du financement à un jour entre 2 % et 3 %, mais pas de sitôt, a prévenu David Macdonald, économiste principal au Centre canadien de politiques alternatives.

C'est loin d'être imminent. Ce ne sera pas l'année prochaine, a-t-il affirmé, ajoutant que les consommateurs n'ont peut-être pas encore pleinement compris cela.

La Banque du Canada a imposé un cycle de resserrement intensif à son taux d'intérêt directeur ces derniers mois. Alors que ce taux s'établissait encore à près de zéro en mars 2022, la banque centrale l'a haussé progressivement jusqu'à ce qu'il atteigne 5 % en juillet de cette année, mais elle l'a maintenu à ce niveau en septembre ainsi que mercredi cette semaine. Le taux du financement à un jour influe sur les taux d'intérêt offerts par les institutions financières.

Le taux du financement à un jour de la Banque du Canada s'était établi à 1,75 % tout au long de 2019, avant que la banque centrale ne l'abaisse à 0,25 % pour soutenir l'économie au début de la pandémie de COVID-19.

Pas de retour aux taux prépandémiques

On s'attend généralement à ce que la banque centrale maintienne ses taux élevés à court terme dans le but de juguler l'inflation. Cependant, même une fois que les taux auront commencé à baisser, les économistes affirment qu'un retour aux taux prépandémiques n'est pas envisageable.

L'économie canadienne et les consommateurs connaissent un changement de paradigme accéléré, a expliqué Beata Caranci, économiste en chef à la Banque TD, ce qui a l'effet d'une douche froide.

Mme Caranci juge que les Canadiens sont conscients du fait que les taux d'intérêt ne reviendront pas aux mêmes niveaux qu'avant la pandémie, mais elle pense également qu'ils sont trop optimistes quant au moment où ils diminueront et à la rapidité à laquelle ils baisseront.

Les emprunteurs optent de plus en plus pour des durées plus courtes en ce qui a trait à leurs prêts hypothécaires, espérant que les taux seront plus bas dans un an ou deux, a-t-elle souligné.

Cela pourrait bien se produire, mais ce n'est pas garanti, a-t-elle observé.

Si vous regardez nos prévisions ou le consensus parmi la population [...], la plupart des gens s'attendent à des réductions d'ici la seconde moitié de l'année prochaine. Mais cela tient pour acquis que l'économie sera plus faible qu'elle ne l'est aujourd'hui.

Une citation de Beata Caranci, économiste en chef à la Banque TD

Un des points sur lesquels j'insiste auprès de nos clients. c'est que la vitesse à laquelle les taux ont augmenté ne sera pas celle à laquelle ils vont diminuer.

Dans un rapport publié mercredi, l'économiste en chef de Marchés des capitaux CIBC, Avery Shenfeld, a indiqué que la banque centrale sera probablement en mesure d'abaisser son taux directeur à 3,5 % d'ici la fin de l'année prochaine.

L'atteinte du taux à la Boucle d'or

Un terme souvent utilisé pour décrire le niveau auquel le taux de financement à un jour pourrait ou devrait s'établir est le taux neutre. Il s'agit essentiellement du taux à la Boucle d'or de la banque centrale, a expliqué Mme Caranci. C'est un taux d'intérêt qui permet à l'économie de croître ni trop rapidement ni trop lentement, ni trop chaud ni trop froid, comme le gruau dans le conte de fées.

Dans un rapport publié le 5 octobre, Mme Caranci et l'économiste principal James Orlando ont écrit qu'ils pensaient que le taux neutre aux États-Unis était en hausse en raison de facteurs tels que les investissements dans la lutte contre les changements climatiques, l'évolution des chaînes d'approvisionnement et l'augmentation des déficits publics.

Un taux neutre plus élevé signifie que le taux directeur actuel pourrait ne pas être aussi restrictif que le pense la Réserve fédérale américaine, ont-ils écrit.

Une tendance similaire est à l'œuvre au Canada, selon Mme Caranci et M. Orlando, mais les niveaux d'endettement élevés des consommateurs canadiens se traduisent par un taux neutre plus bas au nord de la frontière.

Avant la pandémie, les taux au Canada et dans le monde étaient historiquement faibles depuis des années, a souligné M. Macdonald, parce que l'inflation était faible depuis des décennies.

Les taux se sont maintenus à 0,5 % au cours de la dernière décennie, notamment sur une période de deux ans entre juillet 2015 et juillet 2017. Au cours des dix dernières années, le taux directeur moyen s'est établi à 1,27 %.

Une pancarte À vendre devant une maison de brique.

Le prix moyen désaisonnalisé d'une maison en septembre dernier était de 669 689 $, selon l'Association canadienne de l'immobilier.

Photo : Radio-Canada

Il y a des inconvénients à avoir des taux d'intérêt très bas, a fait valoir M. Macdonald. En cas de récession, notamment, la banque centrale a très peu de marge de manœuvre pour stimuler l'économie en abaissant davantage les taux.

Au fil des années, la faiblesse des taux d'intérêt a également contribué à un boum immobilier, a-t-il noté. Le mandat de la Banque du Canada consiste à contrôler l'inflation, mais les prix des maisons ne sont pas inclus dans l'indice des prix à la consommation, a-t-il poursuivi.

Le prix moyen désaisonnalisé d'une maison en septembre dernier était de 669 689 $, selon l'Association canadienne de l'immobilier, ce qui représente une augmentation de 70 % par rapport à celui de 392 647 $ observé 10 ans plus tôt et une augmentation de 216 % par rapport à celui de 211 893 $, en septembre 2003.

Cette explosion des prix de l'immobilier a entraîné de fortes inégalités de richesse au fil du temps, a souligné M. Macdonald, car quiconque a la chance de mettre le pied dans la porte au bon moment a vu sa richesse croître, tandis que d'autres ont été laissés pour compte.

Il convient que les Canadiens traversent actuellement une période d'ajustement difficile, où les budgets des ménages sont engloutis par les coûts hypothécaires, où les loyers augmentent et où les prix de l'immobilier devraient se modérer. En réalité, cet ajustement ne fait que commencer, a-t-il prévenu.

Nous avons encore un long chemin à parcourir avec ces taux d'intérêt beaucoup plus élevés et cette inflation beaucoup plus forte.

Relations de travail
Indicateurs économiques
Célébrités
Hockey
Finances personnelles
Relations de travail
Proche-Orient, l’éternel conflit
Célébrités
Transports

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Friday, October 27, 2023

«Je pense que cette mine-là, c'est fini»: Bien peu d'espoir pour les 500 travailleurs de Stornoway - TVA Nouvelles

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  1. «Je pense que cette mine-là, c'est fini»: Bien peu d'espoir pour les 500 travailleurs de Stornoway  TVA Nouvelles
  2. Débâcle financière de Diamants Stornoway | « Je pense que cette mine-là, c'est fini »  La Presse
  3. Activités suspendues à la mine Renard : de gros impacts pour Chibougamau  Radio-Canada.ca
  4. La mine de diamants Renard cesse ses activités  LesAffaires.com
  5. Nouvelle débâcle financière | La mine de diamants Renard à l'abri de ses créanciers  La Presse
  6. Afficher la couverture complète sur Google Actualités

«Je pense que cette mine-là, c'est fini»: Bien peu d'espoir pour les 500 travailleurs de Stornoway - TVA Nouvelles
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Gatineau | Vidéotron met 214 de ses travailleurs en lock-out - La Presse

(Montréal) Vidéotron, filiale de Québecor média, décrète un lock-out de ses 214 travailleurs, à la suite du rejet de son offre finale par ceux-ci à Gatineau.

Le lock-out entrera en vigueur lundi prochain à 5 h, a fait savoir l’entreprise de télécommunications vendredi.

Les 214 travailleurs membres d’une section locale du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui est affilié à la FTQ, avaient rejeté l’offre patronale finale et globale il y a une semaine, dans une proportion de 74 %.

Le syndicat espérait alors pouvoir reprendre les discussions avec la direction de l’entreprise.

Le président du Syndicat des employés de Vidéotron, Nick Mingione, dénonce le choix de l’employeur de décréter un lock-out : « Un lock-out n’est pas la solution. La solution est à la table de négociation. Malheureusement, l’usage du lock-out n’est jamais trop loin pour cet employeur qui, à travers les années, a usé de cette pratique de trop nombreuses fois. Maintenant, il le fait sachant que le gouvernement fédéral est sur le bord de déposer à la Chambre des communes une loi qui interdirait l’utilisation de travailleurs de remplacement. »

La convention collective est échue depuis le 31 août 2021. La sous-traitance et le maintien ici des emplois sont particulièrement en litige dans ce conflit.

La direction de l’entreprise de télécommunications affirme n’avoir d’autre choix que de recourir davantage à la sous-traitance, puisque 350 postes dans ses centres d’appels seraient vacants, malgré ses efforts de recrutement.

« Vidéotron se doit de trouver des solutions alternatives afin de bien continuer de procurer à ses clients le meilleur service à la clientèle de l’industrie. Il est important de préciser que l’entreprise s’est aussi engagée à ne faire aucune mise à pied dans les emplois où elle utilise la sous-traitance », a-t-elle fait savoir.

La direction affirme offrir 14,5 % d’augmentation sur sept ans, en plus de montants forfaitaires équivalant à 3 % du salaire.

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Nouvelle débâcle financière | La mine de diamants Renard à l'abri de ses créanciers - La Presse

Nouvelle débâcle pour le projet qui devait incarner la relance du Plan Nord : la mine de diamants Renard, dans le Nord-du-Québec « cesse temporairement » ses activités et se place à l’abri de ses créanciers. Quelque 425 personnes perdent leur gagne-pain.

Situé sur le territoire cri Eeyou Istchee, ce complexe minier, qui a reçu plusieurs centaines de millions de fonds public, n’est toujours pas rentable. Ses employés ont appris la mauvaise nouvelle vendredi matin.

Diamants Stornoway, qui appartient à Osisko, Investissement Québec (IQ), la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et Triple Flag, se cherche maintenant un acheteur. L’entreprise attribue ses malheurs à volatilité des prix du diamant.

« La chute significative et soudaine du prix, causée en partie par l’arrêt de l’importation de diamants bruts en Inde et par le climat géopolitique mondial, a eu des impacts majeurs sur la situation financière à long terme de la société », explique-t-elle, dans un communiqué.

Son président et chef de la direction, Patrick Sévigny, n’était pas disponible pour accorder des entrevues, vendredi. À Chibougamau, c’est la surprise et la stupéfaction. Sa mairesse, Manon Cyr, affirme qu’il n’y avait pas eu de signaux avant-coureurs.

« Environ 120 des emplois de Stornoway sont occupés par des résidants de la Jamésie et de la Baie-James, a-t-elle souligné, au cours d’un entretien téléphonique, où elle a souhaité que la mine survive. Le diamant procure une diversité minérale à notre région, surtout présente dans l’or et le cuivre qui rend l’économie régionale plus résiliente. »

Pour Michel Jébrak, professeur du département des sciences de la Terre et de l’atmosphère de l’UQAM, le complexe minier devrait générer de l’intérêt. Tout est une question de prix.

« Le Canada a ouvert de belles mines de diamants, dit-il. C’est un champ de kimberlites diamantifères qui a été découvert à Renard. On y trouve des pierres de qualité. C’est positif. Avec la route qui existe, les actifs existants sur place et un escompte important, ça va intéresser du monde. »

Il y aura toutefois des défis. Le prix du diamant a reculé en réaction à la concurrence des pierres synthétiques populaires auprès des millénariaux en âge de se fiancer. Le marasme est tel que l’Inde, important centre mondial de polissage, a imposé un moratoire sur les importations de diamants bruts jusqu’au 15 décembre dans l’espoir de disposer de son inventaire.

Au premier semestre de 2023, Stornoway a vendu 938 000 carats à un prix moyen de 110 $ US par carat (148 $ CAN). Son coût de production n’est pas public. En 2022, le prix moyen obtenu était de 125 $ US. La mine doit cesser sa production d’ici 2027 en fonction de ses réserves actuelles. Il reste des opportunités de prolonger la durée de vie de la mine.

C’est la deuxième fois en quatre ans que Stornoway doit se tourner vers la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC). En 2019, la décision avait coûté des centaines de millions à IQ – le bras financier de l’État québécois – ainsi que la CDPQ. Le processus actuel risque encore de leur faire perdre de l’argent.

« La Caisse accompagne Stornoway depuis le tout début et a accompagné l’entreprise à travers les différents défis des dernières années, souligne sa porte-parole, Kate Monfette. Nous allons laisser le processus légal suivre son cours. »

En date du 31 décembre dernier, le placement de la CDPQ dans la minière ne valait pas plus que 5 millions.

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Thursday, October 26, 2023

La tech plombe les indices à Wall Street - LesAffaires.com

(Photo: Getty Images)

REVUE DES MARCHÉS. La Bourse de New York a conclu dans le rouge jeudi digérant des résultats décevants dans le secteur de la tech et craignant un ralentissement de la croissance américaine après un fort troisième trimestre.

La Bourse de Toronto a clôturé en baisse, tirée vers le bas par les pertes des secteurs de l’industrie, des technologies de l’information et des métaux pour batteries.

  Pour (re)consulter les nouvelles du marché

Les indices boursiers à la fermeture

À Toronto, le S&P/TSX a descendu de -72,54 points (-0,38%) à 18 875,31 points.

À New York, le S&P 500 a cédé -49,54 points (-1,18%) à 4 137,23 points.

Le Nasdaq a reculé de -225,62 points (-1,76%) à 12 595,61 points.

Le DOW a descendu de -251,63 points (-0,76%) à 32 784,30 points.

Le huard a baissé de -0,0016$ US (-0,2257%) à 0,7233$ US.

Le pétrole a baissé de -1,82$ US (-2,13%) à 83,57$ US.

L’or a progressé de +0,70$ US (+0,04%) à 1 995,60$ US.

Le bitcoin a perdu -655,72$ US (-1,89%) à 34 111,62$ US.

Contexte

L’indice à dominante technologique, entré en correction mercredi, s’est enfoncé en territoire négatif, lesté notamment par l’appréciation des résultats d’Alphabet.

La maison mère de Google, dont l’action a décroché de plus de 9% mercredi après l’annonce de la faiblesse de son activité dans le «cloud» (informatique à distance) au troisième trimestre, a encore perdu 2,55% à 123 dollars.

Microsoft, pourtant plus performant dans ce secteur porteur de croissance de l’informatique à distance, a également lâché 3,75%.

Meta (Facebook) (META) qui a annoncé des résultats de bonne tenue la veille, a néanmoins perdu 3,73% à 288 dollars jeudi alors que le groupe de Mark Zuckerberg a averti que les risques géopolitiques pouvaient ralentir le marché de la publicité.

Avant l’ouverture du marché, le transporteur express UPS a annoncé des résultats trimestriels meilleurs qu’attendu, mais a abaissé ses prévisions pour l’exercice en cours. La direction a cité des «conditions macroéconomiques défavorables». L’action a chuté de presque 6%.

Amazon (AMZN) qui a conclu en baisse de 1,50%, a annoncé jeudi des résultats impressionnants après la clôture.

Le géant de la vente en ligne Amazon a engrangé 9,9 milliards de dollars de bénéfice net au troisième trimestre, soit trois fois plus que lors de l’été 2022 et 3 milliards de plus qu’attendu par le marché, grâce à un fort rebond des ventes sur sa plateforme.

De juillet à septembre, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 143 milliards de dollars (+13%), un montant aussi supérieur aux prévisions. Son titre prenait plus de 3,55% lors des échanges électroniques après la clôture.

Au-delà de ces résultats mitigés, les investisseurs ont digéré le chiffre mirifique de la croissance des États-Unis au troisième trimestre à 4,9%.

Mais comme le résume Patrick O’Hare de Briefing.com, «c’est le meilleur de ce qu’on aura».

L’analyste souligne qu’il y a déjà «des signes anecdotiques que la croissance ralentit».

C’est encore plus clair pour Hugh Johnson, de Hugh Johnson Economics. «Le chiffre de la croissance était un peu plus fort que prévu, mais c’était attendu et le dynamisme de la consommation aussi», a expliqué l’analyste à l’AFP.

«La raison pour laquelle le marché a des difficultés est qu’il s’inquiète pour le quatrième trimestre et les deux premiers trimestres de l’année prochaine», a-t-il affirmé.

«Tout va ralentir, à commencer par l’emploi dès octobre», assure-t-il alors qu’on connaîtra les chiffres de l’emploi la semaine prochaine.

«Ce qui compte ce n’est pas ce que l’on a passé», soit un bon troisième trimestre, «mais ce que l’on va rencontrer», a-t-il résumé.

Le marché s’est donc installé dans une attitude défensive.

En Europe, la banque centrale (BCE) a commencé à changer le cap de sa politique monétaire, Christine Lagarde, sa présidente, évoquant plusieurs fois l’affaiblissement de l’économie de la zone euro.

La BCE a laissé ses taux inchangés pour la première fois depuis juillet 2022.

Du côté des taux obligataires à long terme, les rendements sur les bons du Trésor américain à dix ans se sont repliés à 4,84% contre 4,95% la veille.

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Voie maritime : les Producteurs de grains demandent de laisser circuler les céréales - Radio-Canada.ca

C'est au tour des Producteurs de grains du Québec de demander de permettre le transport des céréales, malgré la grève sur la Voie maritime du Saint-Laurent.

La grève, déclenchée dans la nuit de samedi à dimanche, paralyse le transport de marchandises, de vrac et de céréales tout au long de cet axe commercial stratégique non seulement pour l'est du Canada, mais pour toute l'Amérique du Nord.

Les Producteurs de grains du Québec, une organisation syndicale, se trouvent ainsi à militer pour une position similaire à celle de l'employeur dans le cadre de cette grève, à savoir la Corporation de gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent.

L'importance des céréales

L'employeur avait demandé dès le début de la grève d'en exempter le transport de céréales. Il s'était même adressé au Conseil canadien des relations industrielles à cet effet, en invoquant un article du Code canadien du travail traitant des activités liées aux céréales.

Les Producteurs de grains du Québec exhortent les gouvernements fédéral et provincial à poser les gestes nécessaires pour garantir la libre circulation des grains sur le fleuve Saint-Laurent, ont-ils fait valoir dans une déclaration mercredi.

Pour les producteurs québécois, le temps des récoltes est une période des plus cruciales pour le transport des grains. Ainsi, la fermeture de la Voie maritime du Saint-Laurent risque de bouleverser leur déplacement des champs aux silos portuaires, a fait savoir le président des Producteurs de grains, Christian Overbeek.

C'est pourquoi nous enjoignons aux gouvernements fédéral et provincial de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour maintenir la fluidité du transport des grains sur le Saint-Laurent. Il en va de la vitalité de notre système alimentaire et du secteur des grains, a-t-il ajouté.

Une personne portant un veston aux couleurs de Jack Daniel's, sur lequel est apposé un papier portant le message «En grève».

Un litige sur les salaires est la source principale de la grève sur la Voie maritime du Saint-Laurent.

Photo : Radio-Canada / Daniel Thomas

Un axe névralgique

L'organisation, qui regroupe 14 syndicats représentant 9500 producteurs de grains, indique que la voie navigable du Saint-Laurent permet chaque année le transport de 6 millions de tonnes de grains destinés aux Canadiens et à l'exportation.

Ce sont des sections locales du grand syndicat pancanadien Unifor, au Québec et en Ontario, qui ont voté à 99 % en faveur de la grève et qui débraient depuis dimanche.

Sur la question du transport des céréales, le syndicat Unifor a fait valoir que l'article du Code canadien du travail invoqué par la Corporation de gestion de la Voie maritime fait référence à un port, aux installations terminales ou de transbordement, mais pas aux canaux ni aux écluses.

Le Conseil canadien des relations industrielles a demandé des répliques écrites à ce sujet à Unifor et à l'employeur. Il décidera par la suite s'il tiendra une audience sur la question.

Entre-temps, les parties doivent participer à une phase de médiation à Toronto, à compter de vendredi.

Le litige porte principalement sur les salaires.

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