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Tuesday, August 31, 2021

Olymel : l'entente de principe est acceptée - Radio-Canada.ca

L'usine Olymel à Vallée-Jonction.

L'usine Olymel à Vallée-Jonction.

Photo : Radio-Canada / Carl Boivin

Les syndiqués de l’usine Olymel de Vallée-Jonction, en Beauce, ont voté mardi en faveur de l'entente de principe conclue entre le syndicat et l'employeur, mettant ainsi fin à un conflit qui durait depuis quatre mois.

Le président du Syndicat des travailleurs d’Olymel Vallée-Jonction, Martin Maurice, s'est félicité des nombreux gains réalisés par les travailleurs.

Nous avons donc accepté un nouveau contrat de travail d’une durée de six ans durant lequel nous toucherons des augmentations salariales de l’ordre de 26,4 %, dont 10 % la première année. En plus de ces 4,4 % d’augmentation moyenne par année, nous avons également obtenu un montant forfaitaire de 65 $ par année de service, par membre, a-t-il fait savoir par voie de communiqué.

À cela s'ajoutent un rehaussement de 50 % de la contribution de la part de l’employeur aux assurances collectives pour la couverture familiale, ce qui pousse l’augmentation totale de la première année à 12,48 % ainsi que l’introduction d’un régime de retraite simplifié.

Le syndicat rappelle que la majorité des travailleurs gagnaient 1,13 $ l’heure de plus qu’en 2007, soit une augmentation moyenne annuelle de 0,08 $ l’heure en 14 ans.

Paul Beauchamp en entrevue à Radio-Canada.

Le premier vice-président d’Olymel, Paul Beauchamp.

Photo : Radio-Canada

Pour sa part, la direction d'Olymel pousse un soupir de soulagement.

Les conditions de travail et la rémunération des employés seront ainsi améliorées, tout en conservant à l’entreprise sa capacité à évoluer dans un marché hautement compétitif, affirme le premier vice-président d’Olymel, Paul Beauchamp.

Jean Boulet s'adresse aux journalistes.

Le ministre du Travail, Jean Boulet, avait nommé un médiateur spécial afin d'aider les parties à en arriver à une entente. (archives)

Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel

Les syndiqués à la CSN ont entériné à 78 % l’entente de principe conclue dimanche. Je félicite les parties. Les activités reprendront promptement. Le blitz de médiation a porté fruit, a réagi le ministre du Travail, Jean Boulet, sur Twitter.

Pas de suppression de postes

Le syndicat qui représente environ 1050 travailleurs de l’abattoir Olymel les a tous convoqués d’urgence mardi matin pour leur présenter la nouvelle entente de principe.

Ils avaient jusqu'à 18 h pour exercer leur droit de vote, et ce, en grande partie sur Zoom, compte tenu des mesures sanitaires. Mais certains syndiqués n'étant pas équipés technologiquement, le syndicat a loué un gymnase de la Municipalité de Vallée-Jonction.

Rappelons que l'entente de principe est intervenue dimanche, quelques heures à peine avant la fin d’un ultimatum qui aurait pu entraîner la suppression de 500 emplois. La direction d'Olymel avait fait peser cette menace, car aucune issue favorable n'avait été trouvée lors d'une vingtaine de rencontres de négociation. La dernière entente de principe avait été rejetée à 57 %.

Désormais, Olymel, qui représente 80 % de la capacité d'abattage de porcs au Québec, selon l'Union des producteurs agricoles du Québec (UPA), maintient le quart de soir à cette usine et renonce à la suppression de postes.

Rappel des employés

Le rappel des employés, qui étaient sans contrat de travail depuis le 28 avril, devrait débuter dès ce soir.

L'équipe de l’usine va commencer à faire des premiers rappels pour avoir des travailleurs à l’établissement au niveau de la maintenance pour faire une grande vérification de l’ensemble des composants de l’usine, précise M. Beauchamp en entrevue à Radio-Canada.

Les travaux de maintenance devraient se poursuivre jusqu'à jeudi. D'autres travailleurs, notamment les préposés à la sanitation, seront rappelés à ce moment-là.

Jeudi soir, on devrait être en mesure de recevoir à l’usine nos premiers porcs pour débuter l’abattage vendredi matin. Les travailleurs de découpe et de soir seront rappelés mardi prochain, étant donné que les carcasses doivent être refroidies avant d’être découpées, poursuit le premier vice-président.

Plusieurs cochons vivent à l'étroit dans une porcherie.

Des porcs prêts à être envoyés à l'abattoir ont dû rester entassés dans leurs enclos en attendant la fin du conflit de travail chez Olymel. (archives)

Photo : Radio-Canada / Marc-Antoine Lavoie

En raison de ce conflit de travail, 180 000 porcs sont en attente d'être abattus.

Selon les Éleveurs de porcs du Québec, les impacts de cette grève se feront sentir pour des mois même si la cadence d’abattage reprendra sous peu.

Avec les informations de Pierre-Alexandre Bolduc et de Marc-Antoine Lavoie

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Bilan de la COVID-19 au Québec | 425 nouveaux cas et un décès de plus - La Presse

Le Québec a rapporté mardi une hausse de 425 nouveaux cas de COVID-19 et un nouveau décès. Les hospitalisations sont en hausse.

Alice Girard-Bossé
Alice Girard-Bossé La Presse

Le ministère de la Santé et des Services sociaux recense 425 nouveaux cas de COVID-19, portant le total de personnes infectées dans la province à 389 224.

Les 425 nouveaux cas portent la moyenne quotidienne calculée sur sept jours à 537. La tendance est ainsi à la hausse de 19 % sur une semaine.

Les plus récentes données dans la province font état d’un nouveau décès. Depuis le début de la pandémie, 11 286 Québécois ont succombé à la COVID-19.

Le nombre d’hospitalisations a augmenté pour un total de 131 personnes hospitalisées à l’heure actuelle, soit 6 de plus que la veille. On compte désormais 36 personnes aux soins intensifs, une diminution de 1.

Le nombre de tests réalisés le 29 août s’est élevé à 16 453.

Jusqu’à maintenant, plus de 9500 cas de variants préoccupants ont été identifiés au Québec depuis le début de la pandémie, dont 7293 cas du variant alpha et 1221 du variant delta.

La vaccination se poursuit

Le ministère de la Santé indique que 23 594 injections supplémentaires ont été administrées, soit 22 200 dans les dernières 24 heures et 1394 avant le 30 août, pour un total de 12 427 239 doses administrées au Québec. Hors Québec, ce sont 87 184 doses au total qui ont été administrées.

Jusqu’à présent, 1 700 000 Québécois ont téléchargé l’application VaxiCode permettant aux citoyens de présenter leur code QR, a indiqué le ministère de la Santé et des Services sociaux. Plus de 185 000 personnes ont téléchargé VaxiCode Verif, permettant aux commerçants de scanner les codes.

À partir de mercredi, le passeport vaccinal COVID-19 sera obligatoire pour avoir accès à certains lieux ou pour participer à certaines activités non essentielles.

Près de 4,3 millions de Québécois se sont inscrits au concours Gagner à être vacciné du Gouvernement du Québec, où plusieurs prix et bourses d’études sont à gagner.

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Conflit de travail chez Olymel | Le syndicat accepte l'entente de principe - La Presse

Fin de la grève à l’usine d’Olymel de Vallée-Jonction, en Beauce. Les syndiqués ont accepté mardi à 78 % l’entente de principe, ce qui met un terme au conflit de travail qui aura duré quatre mois.

Nathaëlle Morissette
Nathaëlle Morissette La Presse

La plupart des 1050 travailleurs ont voté à distance en début d’après-midi à la suite d’une assemblée générale virtuelle. Une entente de principe est intervenue dimanche entre les deux parties, à l’issue d’un blitz de négociations entamé vendredi. En plus de satisfaire les deux parties impliquées, le résultat du vote a été reçu avec beaucoup de soulagement de la part des Éleveurs de porcs du Québec et du maire de Vallée-Jonction, Réal Bisson.

« Nous avons donc accepté un nouveau contrat de travail d’une durée de six ans durant lequel nous toucherons des augmentations salariales de l’ordre de 26,4 %, dont 10 % la première année », a indiqué le président du Syndicat des travailleurs d’Olymel à Vallée-Jonction (STOVJ-CSN), Martin Maurice, dans un communiqué diffusé un peu après 18 h, mardi. « En plus de ce 4,4 % d’augmentation moyenne par année, nous avons également obtenu un montant forfaitaire de 65 $ par année de service, par membre. Nous avons également obtenu un rehaussement de 50 % de la contribution de la part de l’employeur à nos assurances collectives pour la couverture familiale, ce qui pousse l’augmentation totale de la première année à 12,48 %. »

« Le résultat du vote nous démontre que nos membres sont satisfaits des gains que nous avons obtenus, a-t-il ajouté. Nous avions fait le choix de négocier un enrichissement pour tous et c’est exactement ce que nous avons finalement obtenu. »

Rappelons que le 17 août, les travailleurs syndiqués de l’usine de la Beauce ont voté à 57 % contre une première entente de principe. Les salaires, les horaires et la durée de la convention collective comptaient parmi les principaux points en litige.

En raison du résultat de ce nouveau vote, favorable à l’entente, Olymel « a pris la décision de maintenir le quart de soir à cette usine et de renoncer à sa suppression tel qu’annoncé précédemment dans l’éventualité où la grève aurait pu se poursuivre plus longtemps. Les 1050 employés seront donc tous rappelés au travail », a fait savoir l’entreprise dans un communiqué. La fin du quart de soir aurait entraîné la perte de 500 emplois.

Considérant que l’appui à 78 % représente un « bon résultat », le premier vice-président d’Olymel, Paul Beauchamp, s’attend à « un retour harmonieux au travail », a-t-il indiqué au cours d’un entretien téléphonique avec La Presse. « Les conditions de travail ont été bonifiées au bénéfice des travailleurs, sans nuire à la compétitivité de l’entreprise, affirme-t-il. Si je me fie au résultat du vote, je pense que les gens vont être contents de revenir au travail. Je ne dirais pas que ça sera nécessairement facile, mais je pense qu’on va déployer les meilleurs efforts pour y arriver. »

Dès mardi soir, Olymel a fait savoir qu’elle avait recommencé à rappeler ses employés, et les activités d’abattage pourraient reprendre le vendredi 3 septembre.

L’usine de la Beauce abat en moyenne 36 000 porcs par semaine, ce qui correspond à environ 20 % à 25 % du total de l’abattage fait au Québec. Selon les chiffres les plus récents dévoilés par Les éleveurs de porcs du Québec, on compte actuellement 179 900 bêtes en attente.

Soulagement

Avec la fin de cette grève, Les éleveurs de porcs estiment d’ailleurs « qu’une catastrophe a été évitée de justesse ». Même si la cadence d’abattage reprend, les effets de ce conflit se feront encore sentir pendant plusieurs mois, souligne-t-on toutefois. « À court terme, il sera essentiel qu’Olymel priorise l’abattage des porcs québécois pour permettre à nos producteurs de reprendre le dessus et d’optimiser les conditions de leurs animaux dans les fermes, a indiqué le président, David Duval, dans un communiqué. À moyen terme, c’est tout un questionnement qui devra avoir lieu. Nous comptons discuter avec le gouvernement de l’importance d’une modernisation législative pour maintenir le droit de grève sans toutefois mettre en péril le bien-être de nos animaux. »

À Vallée-Jonction, le maire Réal Bisson admet avoir ressenti beaucoup de nervosité avant de connaître le résultat du vote. « On est très, très contents, a-t-il spontanément lancé au bout du fil. La perte de 500 emplois, ce n’était pas de bon augure pour l’avenir », a ajouté le maire de la municipalité de 1850 âmes.

« Je félicite les parties, a écrit le ministre du Travail, Jean Boulet, sur son compte Twitter. Les activités reprendront promptement. Le blitz de médiation a porté fruit. »

Pour dénouer l’impasse à l’issue du premier vote, le ministre avait nommé un médiateur spécial. Puis, la semaine dernière, au cours d’une « rencontre de la dernière chance », M. Boulet avait proposé aux deux parties d’aller en arbitrage, ce qui, selon le ministre, aurait mis fin au conflit. Olymel a accepté l’offre, alors que le syndicat l’a rejetée, préférant poursuivre la négociation.

C’est à la suite de ce refus que les deux parties ont entrepris vendredi un blitz de négociations qui a mené à l’entente de principe intervenue dimanche en fin de journée.

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Les hospitalisations à cause de la COVID-19 en hausse au Québec - Le Devoir

Québec rapporte mardi 425 nouveaux cas de COVID-19 et un décès supplémentaire.

Le bilan provincial est maintenant de 389 224 personnes infectées depuis le début de la pandémie, dont 373 538 sont rétablies, ainsi que de 11 286 décès.

Sur les 425 nouveaux cas signalés, 302 n’étaient pas vaccinés ou avaient reçu une première dose de vaccin il y a moins de 14 jours, 38 avaient reçu une seule dose il y a au moins 14 jours et 85 avaient reçu une deuxième dose il y a au moins sept jours.

On signale mardi 131 hospitalisations, une hausse de six comparativement à la veille. Trente-six patients se trouvent aux soins intensifs, une baisse d’un. Quatorze personnes sont entrées à l’hôpital dans la journée, dont 12 n’étaient pas vaccinés ou avaient reçu une seule dose il y a moins de 14 jours et deux avaient reçu une deuxième dose il y a au moins sept jours.

Un total de 16 453 prélèvements ont été réalisés le 29 août.

En ce qui concerne la vaccination, 22 200 doses ont été administrées au Québec dans les dernières 24 heures, pour un total de 12 340 055. À l’extérieur de la province, 87 184 doses ont été administrées à des Québécois.

Selon l’Institut national de santé publique du Québec, 76,2 % de la population a reçu au moins une dose de vaccin contre la COVID-19. Parmi les 12 ans et plus, 87 % ont reçu au moins une dose et 80,6 % sont adéquatement vaccinés.

À voir en vidéo

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Un gigantesque thon servi dans 10 restos de Sherbrooke - Le Journal de Montréal

Les pêcheurs qui ont capturé un thon de 320 kilos en Gaspésie ont vendu leur prise en Estrie. L’immense poisson sera servi dans les restaurants de Sherbrooke au profit de la Fondation Justin Lefebvre.

Le monstre marin est arrivé mardi après-midi au Marché de poissons de Sherbrooke. «J’ai été surpris, je pensais qu’il était plus long et moins gros du ventre», a commenté le copropriétaire Francis Gauvin. «C’est le plus gros poisson que nous avons jamais eu ici. Il a fallu une partie de l'après-midi pour découper la viande.» 

Le poisson a été pêché samedi dernier dans le golfe du Saint-Laurent près de Chandler, en Gaspésie. C'est Tommy Ducharme qui a eu l'idée de mener cette partie de pêche au profit de la Fondation Justin Lefebvre. «Quand j’ai vu Laurent Duvernay Tardif pêcher son thon de 500 livres, je me suis dit que cet homme-là ne pouvait pas être champion dans tout!, a blagué M. Ducharme. Alors je me suis dit que j’étais capable de le battre au moins là-dessus et pourquoi ne pas le faire au bénéfice d’une bonne cause. Malheureusement la météo n’a pas été favorable pour moi et mes amis lors de notre passage en Gaspésie il y a quelques semaines, mais nous avons laissé notre permis de pêche au capitaine qui est retourné en mer quelques jours plus tard et qui a réussi cette prise incroyable pour nous!» 

Le poisson sera vendu au marché de poisson et dans 10 restaurants de Sherbrooke. «Ce poisson nous a coûté 9 200$, a avancé Francis Gauvin. Une fois que le poisson aura été remboursé, le reste de l’argent s’en va à la cause. Tous les profits seront remis à la Fondation Justin Lefebvre.» 

La Fondation Justin Lefebvre fait la promotion du don d'organes et aide les enfants défavorisés à se procurer de l'équipement sportif et des fournitures scolaires. «Ce sera une opportunité pour les restaurateurs, qui l’ont difficile depuis plus d’un an, de bénéficier d’une belle visibilité et de recevoir des clients. Pour nous, si on peut aller chercher 5 000$ ce serait formidable», a souhaité le président de la fondation, Patrick Lefebvre. 

La liste des restaurants participants est disponible sur la page Facebook de la Fondation Justin Lefebvre.

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425 nouveaux cas de COVID-19 et un décès de plus au Québec | Coronavirus - Radio-Canada.ca

Un masque accroché au bras d'une passante dans la rue.

Les personnes non vaccinées demeurent les plus touchées actuellement par la maladie, selon les données de la santé publique.

Photo : Radio-Canada / Jean-Claude Taliana

Radio-Canada

Les autorités sanitaires du Québec recensent 425 nouveaux cas de COVID-19 au cours des dernières 24 heures, ce qui porte à 389 224 le nombre de cas confirmés dans la province depuis le début de la pandémie.

Un nouveau décès lié à la maladie a été déclaré ces dernières 24 heures. Le bilan des pertes de vie attribuables à la COVID-19 s’établit actuellement à 11 286 au Québec.

Ces dernières 24 heures, le nombre d’hospitalisations a cependant augmenté de 6 pour un total de 131 dans les hôpitaux de la province.

De ce nombre, 36 patients sont traités aux soins intensifs, soit un de moins que la veille.

Les opérations de dépistage se poursuivent pendant ce temps sur l’ensemble du territoire, où 16 453 prélèvements ont été effectués le 29 août.

Évolution de la COVID-19 au Québec

Vaccination

Plus de 23 594 doses supplémentaires ont été administrées aux Québécois, soit 22 200 injectées au cours des dernières 24 heures et 1394 doses de plus administrées avant le 30 août.

La santé publique ajoute aussi au bilan 87 184 doses administrées hors de la province, ce qui porte à 12 427 239 le nombre de doses de vaccin injectées à des Québécois depuis le début de la campagne de vaccination, en décembre dernier.

Selon les données de l’Institut de santé publique du Québec (INSPQ), 80,6 % des Québécois de 12 ans et plus ont reçu deux doses du vaccin contre la COVID-19.

Progression de la maladie

Dans la province, on compte actuellement 4400 cas actifs de COVID-19 et 252 éclosions actives.

Depuis plusieurs mois maintenant, Laval demeure la région où la contagion est la plus forte avec un taux de cas actifs de 116,5 par tranche de 100 000 habitants, le Nord-du-Québec vient en deuxième position avec un taux de cas actifs de 96,4, suivi de Montréal à 78,6 cas pour 100 000 habitants.

La moyenne québécoise s’établit quant à elle à 51,2 cas pour 100 000 habitants.

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Passeport vaccinal: pas besoin de pièce d'identité avec photo pour les jeunes - Le Journal de Québec

Les vaccinés de moins de 16 ans n’auront pas à accompagner leur preuve vaccinale d’une pièce d’identité avec photo pour entrer dans un établissement non essentiel. 

• À lire aussi: [EN DIRECT] Christian Dubé fait le point sur la campagne de vaccination

• À lire aussi: Passeport vaccinal: des restaurateurs préfèrent fermer leur salle à manger

C’est ce qu’a confirmé au 24 heures le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), mardi. 

À partir de mercredi, partout au Québec, ceux qui veulent fréquenter un restaurant, un bar, un gym ou un cinéma, par exemple, devront présenter un passeport vaccinal confirmant qu’ils sont doublement vaccinés. Pour éviter les vols d’identité, le gouvernement de François Legault a également demandé que la preuve soit accompagnée d’une pièce d’identité avec photo. 

Or, ces cartes ne courent pas les rues chez les moins de 16 ans. Le permis de conduire n’étant pas disponible, ils doivent se tourner vers la carte d’assurance-maladie, qui ne vient pas avec une photo chez les moins de 14 ans. 

Le MSSS assure avoir la situation en main. «L’obligation de présenter une pièce d’identité avec photo ne s’applique qu’à partir de l’âge de 16 ans», a affirmé la relationniste du ministère, Marie-Claude Lacasse, après une demande d’information. 

Pas seulement les jeunes 

Les potentiels angles morts du passeport vaccinal ne touchent pas que les jeunes Québécois. La photo n’étant plus obligatoire sur la carte-soleil chez les plus de 74 ans, certains risquent de se retrouver sans preuve d’identité aux portes d’un établissement. 

Mais Québec fera preuve d’indulgence pour cette portion de la population également. «Advenant qu’une personne de 75 ans et plus n’ait pas de photo sur sa carte RAMQ, et n’ait pas de permis de conduire ou autre pièce d’identité avec photo, une preuve d’identité sans photo sera acceptée», a-t-on indiqué.

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Pandémie de la COVID-19 - Dévoilement des personnes gagnantes du tirage du 27 août du concours Gagner à être vacciné! - Salle de presse - MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux

Québec, le 31 août 2021

Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) dévoile aujourd’hui les noms des gagnants du concours Gagner à être vacciné!, à la suite du quatrième tirage hebdomadaire, qui s’est déroulé vendredi dernier, le 27 août.

Comme ceux des semaines précédentes, ce tirage offrait un lot de 150 000 $ à une personne de plus de 18 ans ainsi que deux bourses d’études de 10 000 $ à des jeunes de 12 à 17 ans.

Les personnes gagnantes cette semaine sont les suivantes :

  • Jacques Salvas, de la Montérégie, qui se voit offrir une somme de 150 000 $;
  • Zachary Diotte, de la Montérégie, qui reçoit une bourse d’études de 10 000 $;
  • Marc-Antoine Sweeney Quimper, de la Mauricie, qui gagne également une bourse d’études de 10 000 $.

Faits saillants :

  • Il s’agissait du dernier tirage hebdomadaire.
  • Le 3 septembre, un lot de 1 million $ sera tiré parmi les personnes de 18 ans et plus, de même que 16 bourses d’études de 20 000 $ pour les jeunes de 12 à 17 ans. Des prix additionnels sont prévus, offerts notamment par Bombardier, Air Canada, BRP, Fizz et le ministère du Tourisme. L’annonce des gagnants se fera le mardi 7 septembre.

Lien connexe :

Pour obtenir tous les renseignements pertinents sur la vaccination : Québec.ca/vaccinCOVID.

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Les syndiqués d'Olymel se prononcent sur l'entente de principe - TVA Nouvelles

Les employés d’Olymel de l’usine de Vallée-Jonction, dans Chaudière-Appalaches, votaient mardi sur l’entente de principe conclue dimanche entre leur syndicat et la direction.

• À lire aussi: Entente de principe entre Olymel et ses employés de Vallée-Jonction

Le vote, qui se fera essentiellement à distance, devrait se faire à compter de 13h après que les représentants syndicaux aient présenté l’offre aux membres. 

«Nous allons publier un communiqué de presse dès le résultat du vote connu sur l’entente de principe. Il s’agit d’un vote électronique qui sera possible dans un délai de 5 heures après la fin de l’assemblée générale», a précisé le syndicat.

Des employés rencontrés par TVA Nouvelles après l’assemblée générale semblaient plutôt optimistes que l’entente soit entérinée.

Rappelons qu’il s’agit en quelque sorte d’un vote de la dernière chance pour les employés, alors que l’employeur procédera dès mercredi à l’abolition de 500 postes de travail si l’offre est rejetée.

Il y a un peu plus d’une semaine, les syndiqués avaient rejeté à 57% l’offre patronale. 

Les salaires, les horaires de travail et la durée de la convention collective semblent être au cœur du litige.

Dans l’attente d’un règlement dans ce conflit, ce sont 180 000 porcs qui sont en attente d’être abattus.

La grève dure depuis plus de quatre mois à l’usine de Vallée-Jonction.

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Nouvelle initiative pour inciter les jeunes à se faire vacciner - TVA Nouvelles

Dans une tentative d’inciter les jeunes à se faire vacciner, la direction de santé publique de Montréal s'associe à la Guilde du jeu vidéo du Québec pour la mise en place de deux initiatives.

Jusqu’au 1er octobre, les jeunes qui ont reçu le vaccin peuvent partager sur leurs réseaux sociaux le mot-clic #gamervacciné_e pour être admissibles au tirage d’une bourse d’études. Les prix totaliseront la somme de 25 000 $.

Un événement thématique aura également lieu pendant la fin de semaine du 11 et 12 septembre, dans lequel les jeunes sont invités à aller se faire vacciner sans rendez-vous. Des cadeaux seront notamment remis et des personnalités du domaine des jeux vidéo seront sur place.

À Montréal, selon les données de la Santé publique, 77 % de la population a reçu au moins une dose de vaccin, et 66 % en a reçu deux. Néanmoins, les chiffres sont plus bas chez les plus jeunes, qui tardent à se faire vacciner. Une situation qui inquiète avec la présence marquée du variant Delta.

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Des transporteurs d'ici tassés par IGA au profit de compagnies extérieures - Le Journal de Montréal

Des camionneurs québécois, qui transportaient des fruits et des légumes pour IGA depuis des décennies, disent avoir été tassés par des compagnies de l’extérieur du Québec ces derniers mois.

• À lire aussi: Une hausse du nombre de désertions parmi les employés guatémaltèques

• À lire aussi: On lui a volé une quarantaine de travailleurs en trois ans

« Ça fait 35 ans que l’on se dévoue corps et âme. Nos employés sont tous Québécois. Je comprends mal que Sobeys nous abandonne pour des ontariennes et américaines », déplore Jean-Claude Fortin, propriétaire de J.E. Fortin.

  • Écoutez l'entrevue de Jean-Claude Fortin avec Benoit Dutrizac sur QUB Radio:

Ces derniers mois, des entreprises québécoises de transport qui transportaient des fruits et des légumes québécois aux États-Unis et rapportaient par la suite des produits américains ici pour Sobeys disent avoir été « tassées » par le géant.

« Des américaines comme J.B. Hunt Logistics et des entreprises œuvrant en Ontario comme The Harman Group ont obtenu des contrats », lance Jean-Claude Fortin, président de l’Alliance canadienne du camionnage (ACC).

Résultat, nos raisins, prunes, pêches, bananes, ananas et pommes sont de plus en plus ramassés par des compagnies de transport hors Québec, selon eux.

« Ça va rimer avec des pertes de près de deux millions de dollars », va jusqu’à dire Jean-Claude Fortin, excédé. 

  • Écoutez la chronique économique d'Yves Daoust, directeur de la section Argent du journal de Montréal et du Journal de Québec, sur QUB radio:   

De héros à zéros

Comme lui, des grands patrons ont dénoncé au Journal hier, sous le couvert de l’anonymat, un système de soumission en ligne qui les aurait défavorisés.

« Ils gagnent leur vie avec des Québécois et ils encouragent de moins en moins de Québécois », a soupiré l’un d’eux, préférant taire son nom pour éviter de froisser Sobeys.

« Durant la pandémie, on était des héros, maintenant, on est tombés à zéros », a ajouté un autre, qui a accepté de parler selon les mêmes conditions.

« On perd des millions de dollars. On va devoir mettre du monde à pied et peut-être même fermer », a-t-il ajouté avec émotion.

Ces dernières années, Sobeys avait déjà transféré un important contrat de transport de l’entreprise québécoise Groupe Robert à la firme du Nouveau-Brunswick Day & Ross, une filière du géant torontois McCain.

Lundi, la maison-mère d’IGA, Sobeys, a confirmé qu’il y avait bel et bien eu « des changements » au sein de l’organisation avec des transporteurs.

« La majorité vient du Canada et des Maritimes, de l’Ontario, pour la phase de fruits et légumes », a indiqué sa porte-parole, Anne-Hélène Lavoie.

« Pour l’épicerie, on procède de la même façon, par soumission nationale, et la majorité des transporteurs sélectionnés viennent du Québec », a-t-elle précisé.     

  • Écoutez les actualités de Philippe-Vincent Foisy et Carl Marchand sur QUB radio:   

Sobeys se défend

Quand on lui demande si IGA laisse tomber des camionneurs d’ici, elle répond au contraire qu’elle reste bien implantée dans la province.

« Pas du tout. En épicerie, ce sont eux qui ont été le plus sélectionnés, explique Anne-Hélène Lavoie. J’ai mes propres chauffeurs à l’interne. »

« Durant la période des produits du Québec, c’est tout du local. Ce sont tous des transporteurs du Québec qui travaillent ici », conclut-elle.

– Avec Andrea Valeria, Jean-Michel Genois Gagnon et Sylvain Larocque

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Fermer au lieu de gérer le VaxiCode - TVA Nouvelles

Des restaurateurs qui manquent de personnel ou qui sont contre la mesure sanitaire vont fermer leur salle à manger pour éviter de gérer le passeport vaccinal.

« Ça me brise le cœur, même si je suis fatigué », lance Mario Drouin.

Il fermera sa cantine saisonnière Chez Mimi, située à Val-des-Sources, en Estrie le 1er septembre au lieu de la date prévue en octobre.

L’entrée en vigueur du passeport vaccinal demain l’obligerait, comme tous les restaurateurs, à vérifier la preuve vaccinale des clients qui désirent prendre un repas sur place.

« On a déjà de la misère à avoir des employés et ça me prendrait une personne de plus », déplore M. Drouin.

Il dit travailler 120 heures par semaine pour faire fonctionner son établissement, dont les ventes ont bondi de 50 % depuis la pandémie.

D’autres restaurants ont annoncé qu’ils fermeraient leur salle à manger en maintenant la livraison et le take-out puisqu’il est trop difficile de trouver des employés pour vérifier les codes QR.

« Déjà, on a une pénurie de main-d’œuvre, et là faudrait leur [les employés] rajouter des tâches qui sont vraiment discutables », avance Éric Miller, propriétaire des restaurants de sushis L’Œil du Dragon, situés à Québec et Lévis.  

C’est aussi le cas des restaurants Amir, de Rawdon, dans Lanaudière et Chez To Go à Montréal, si l’on se fie aux informations publiées sur leurs réseaux sociaux.

Dans la région de Québec, d’autres établissements se sont résignés à n’asseoir personne à leurs tables dès le 1er septembre.

« Il y a beaucoup de restaurateurs qui me disent qu’ils ne vont pas être capables d’appliquer le passeport vaccinal parce qu’ils n’ont pas beaucoup d’employés », constate Peter Sergakis, propriétaire de restaurants et de bars et président de l’Union des tenanciers de bars du Québec.

D’autres restaurants ont expliqué au Journal qu’ils fermaient leur salle à manger par conviction.

« Tu ne peux pas dire à un client qui vient depuis 15 ans : “Tu es mon chum, mais tu ne peux pas rentrer parce que tu n’es pas vacciné” », soutient Joey Vigliotti, propriétaire du restaurant Vincent Sous-Marins à Montréal-Nord, qui lui-même n’est pas vacciné.

L’Association Restauration Québec (ARQ) estime que le passeport vaccinal est un moindre mal, après près de 18 mois de pandémie.

« Ça va être un fardeau, c’est compliqué, on le sait. Mais pour l’ensemble de l’industrie, qui n’est pas un monolithe, c’est mieux ça que la fermeture des salles à manger. Si certains veulent fermer leur salle à manger, c’est un choix de gestion », indique Martin Vézina, responsable aux communications et affaires publiques de l’ARQ. 

Pour Alain Lamarre, professeur en immunologie, virologie et cancer à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), le passeport vaccinal aura un « impact majeur » pour limiter la transmission dans les lieux comme les restaurants.

« Le fait que ça va se faire dans le contexte de la reprise automnale, quand les gens retournent à l’intérieur et les écoles reprennent, c’est là que le virus se propage le mieux. C’est sûr que c’est une mesure qui va aider au moins pour ce type d’activités là. »

– Avec Catherine Bouchard, Le Journal de Québec

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Fermer au lieu de gérer le VaxiCode - TVA Nouvelles
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Fermer au lieu de gérer le VaxiCode - Le Journal de Montréal

Des restaurateurs qui manquent de personnel ou qui sont contre la mesure sanitaire vont fermer leur salle à manger pour éviter de gérer le passeport vaccinal.

« Ça me brise le cœur, même si je suis fatigué », lance Mario Drouin.

Il fermera sa cantine saisonnière Chez Mimi, située à Val-des-Sources, en Estrie le 1er septembre au lieu de la date prévue en octobre.

L’entrée en vigueur du passeport vaccinal demain l’obligerait, comme tous les restaurateurs, à vérifier la preuve vaccinale des clients qui désirent prendre un repas sur place.

« On a déjà de la misère à avoir des employés et ça me prendrait une personne de plus », déplore M. Drouin.

Il dit travailler 120 heures par semaine pour faire fonctionner son établissement, dont les ventes ont bondi de 50 % depuis la pandémie.

Livraison et pour emporter

D’autres restaurants ont annoncé qu’ils fermeraient leur salle à manger en maintenant la livraison et le take-out puisqu’il est trop difficile de trouver des employés pour vérifier les codes QR.

« Déjà, on a une pénurie de main-d’œuvre, et là faudrait leur [les employés] rajouter des tâches qui sont vraiment discutables », avance Éric Miller, propriétaire des restaurants de sushis L’Œil du Dragon, situés à Québec et Lévis.  

C’est aussi le cas des restaurants Amir, de Rawdon, dans Lanaudière et Chez To Go à Montréal, si l’on se fie aux informations publiées sur leurs réseaux sociaux.

Dans la région de Québec, d’autres établissements se sont résignés à n’asseoir personne à leurs tables dès le 1er septembre.

« Il y a beaucoup de restaurateurs qui me disent qu’ils ne vont pas être capables d’appliquer le passeport vaccinal parce qu’ils n’ont pas beaucoup d’employés », constate Peter Sergakis, propriétaire de restaurants et de bars et président de l’Union des tenanciers de bars du Québec.

D’autres restaurants ont expliqué au Journal qu’ils fermaient leur salle à manger par conviction.

« Tu ne peux pas dire à un client qui vient depuis 15 ans : “Tu es mon chum, mais tu ne peux pas rentrer parce que tu n’es pas vacciné” », soutient Joey Vigliotti, propriétaire du restaurant Vincent Sous-Marins à Montréal-Nord, qui lui-même n’est pas vacciné.

Pas la fin du monde

L’Association Restauration Québec (ARQ) estime que le passeport vaccinal est un moindre mal, après près de 18 mois de pandémie.

« Ça va être un fardeau, c’est compliqué, on le sait. Mais pour l’ensemble de l’industrie, qui n’est pas un monolithe, c’est mieux ça que la fermeture des salles à manger. Si certains veulent fermer leur salle à manger, c’est un choix de gestion », indique Martin Vézina, responsable aux communications et affaires publiques de l’ARQ. 

Pour Alain Lamarre, professeur en immunologie, virologie et cancer à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), le passeport vaccinal aura un « impact majeur » pour limiter la transmission dans les lieux comme les restaurants.

« Le fait que ça va se faire dans le contexte de la reprise automnale, quand les gens retournent à l’intérieur et les écoles reprennent, c’est là que le virus se propage le mieux. C’est sûr que c’est une mesure qui va aider au moins pour ce type d’activités là. »

– Avec Catherine Bouchard, Le Journal de Québec

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Monday, August 30, 2021

NASDAQ et S&P 500 | Nouveaux records à Wall Street - La Presse

(New York) La Bourse de New York a franchi de nouveaux sommets avec le NASDAQ et le S&P 500 lundi, portée par le ton prudent du patron de la Fed et un retour de l’engouement pour les valeurs technologiques.

Agence France-Presse

Selon des résultats définitifs, l’indice NASDAQ, où se concentrent les valeurs technologiques, a grimpé de 0,90 % à 15 265,89 points, franchissant un nouveau record, de même pour l’indice élargi S&P 500 à 4528,79 points (+0,43 %). L’indice Dow Jones des valeurs vedettes s’est un peu replié à 35 399,84 points (-0,16 %).

La Bourse de Toronto a clôturé en baisse lundi, s’écartant du sommet record atteint vendredi malgré une hausse du cours du pétrole.

L’indice composé S&P/TSX du parquet torontois a cédé 49,67 points pour terminer la journée avec 20 594,97 points.

Sur le marché des devises, le dollar canadien s’est négocié au cours moyen de 79,35 cents, en hausse par rapport à celui de 79,15 cents US de vendredi.

À la Bourse des matières premières de New York, le cours du pétrole brut a pris 47 cents US à 69,21 $ US le baril, tandis que celui du gaz naturel a lâché 8,3 cents US à 4,31 $ US le million de BTU.

Le prix de l’or a rendu 7,30 $ US à 1812,20 $ US l’once, pendant que celui du cuivre a gagné 4,4 cents US à 4,38 $ US la livre.

Jerome Powell, le président de la Banque centrale américaine (Fed), avait redonné au marché des actions des raisons d’aller de l’avant vendredi en se montrant peu pressé de réduire les achats d’actifs, encore moins d’augmenter les taux d’intérêt, ont relevé la plupart des analystes.

Même s’il a confirmé une possible diminution des injections de liquidités dès cette année, il n’a pas donné de calendrier et a insisté sur la nécessaire amélioration du marché du travail.

Dans son allocution à Jackson Hole, « Jerome Powell s’est quand même montré un peu plus accommodant qu’attendu », a souligné Gregori Volokhine de Meeschaert Financial Services.

« L’idée des investisseurs est que, s’il est plus accommodant, c’est qu’il y a peut-être un ralentissement dans l’économie », a-t-il ajouté. « Et quand il y a un ralentissement, on retourne aux vieilles recettes qui marchent : cela s’appelle les grosses capitalisations technologiques ».

Ce sont ces grands noms de la tech ont ainsi tiré lundi le NASDAQ à son 32e record de l’année : Apple a terminé en hausse de 3,04 % à 153,12 dollars, Amazon de 2,15 % à 3421,57 dollars, Facebook de 2,15 % à 380,66 dollars.

Semaine riche

La semaine, qui sera riche en indicateurs, s’est ouverte avec une diminution des promesses de ventes de logements en juillet aux États-Unis.

Elle se poursuivra avec la confiance des consommateurs, mardi, l’activité du secteur manufacturier mercredi, le coût de la main-d’œuvre et les commandes industrielles jeudi pour culminer sur les créations d’emplois et le chômage vendredi.

Pour ces chiffres de l’emploi très attendus, les analystes prévoient 750 000 nouvelles embauches le mois dernier, un repli par rapport aux 943 000 créations d’emplois de juillet. Le taux de chômage à 5,4 % pourrait se replier à 5,2 %.

Les investisseurs ont surveillé aussi l’impact de la tempête Ida en Louisiane où siègent de nombreuses raffineries de pétrole.

La totalité de la ville de La Nouvelle-Orléans est plongée dans le noir.

Au tableau des actions, le titre de PayPal a fait un bond de 3,64 % à 288,47 dollars alors que le groupe de paiements électroniques se préparerait à offrir du courtage en ligne, selon des informations de CNBC.

Son futur rival dans ce domaine, Robinhood, a perdu presque 7 % à 43 dollars. Le cours de la populaire application a aussi été déprimé par des déclarations du patron du gendarme de la Bourse, la SEC, au site du magazine Barron’s.

Garry Gensler a indiqué qu’il n’excluait pas d’interdire certaines transactions qui permettent à Robinhood d’offrir la gratuité des opérations de courtage.

Affirm Holdings, qui offre des solutions d’achat à crédit, a vu son titre exploser à +46,67 % à 99,59 dollars après avoir annoncé avoir conclu un accord avec Amazon pour proposer des paiements à crédit à ses clients.

Les compagnies aériennes comme Delta, United Airlines and American Airlines ont plongé de plus de 3 % après que l’Union européenne a réimposé des restrictions aux voyages non essentiels venant de 5 pays dont les États-Unis.

Les actions des groupes de jeux vidéo ont flanché dans le sillage des nouvelles restrictions chinoises sur le secteur. Activision Blizzard (Call of Duty) a perdu 1,59 %, la plateforme de jeux vidéo Roblox a chuté de 4 %.

Le titre de l’application de vidéoconférence Zoom, qui a clôturé en hausse de 1,96 % à 347 dollars, perdait presque 8 % dans les échanges électroniques après avoir annoncé des résultats conformes aux prévisions.

Les rendements sur les bons du Trésor à 10 ans étaient un peu en repli à 1,28 % contre 1,30 %.

Avec La Presse Canadienne

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L'application VaxiCode enfin disponible sur Android - Le Devoir

À moins de 48 heures de l’entrée en vigueur du passeport vaccinal, l’application VaxiCode et son pendant VaxiCode Vérif sont maintenant disponibles pour les utilisateurs Android.

Lundi après-midi, ces applications ne pouvaient toujours pas être téléchargées sur ces appareils qui représentent plus de la moitié des utilisateurs. Le laissez-passer électronique devra être présenté dès mercredi pour accéder à plusieurs lieux publics.

Plusieurs internautes se sont plaints du long délai entre la sortie pour les appareils Apple, téléchargeable depuis mercredi dernier et celle pour Android.

Lors de l’annonce des modalités du passeport vaccinal, le ministre de la Santé, Christian Dubé, avait indiqué qu’elle serait disponible sur Android dans les jours suivants. Sur Twitter lundi midi, il a assuré que l’application serait accessible « dans les prochaines heures ». « On garde le cap sur le 1er septembre », a-t-il ajouté, rappelant que d’autres formats de la preuve vaccinale sont aussi acceptés.

« Ce qui est obligatoire, c’est la présentation de sa preuve vaccinale », a aussi insisté par courriel une relationniste du ministère de la Santé. VaxiCode permet seulement de rendre cette opération « plus fluide », écrit-elle. Elle permet en outre de conserver en mémoire jusqu’à 10 codes QR d’une même famille par exemple.

Le code QR peut également être présenté sous format PDF ou encore dans un document imprimé de bonne qualité, à l’encre noire.

Le commerçant ou le responsable d’accès à un lieu public doit quant à lui lire ce code avec l’application VaxiCode Vérif. La personne doit ensuite présenter une preuve d’identité.

Une période d’adaptation pour le passeport vaccinal est déjà prévue jusqu’au 15 septembre. D’ici à cette date, aucune sanction ne sera mise en œuvre.

Vendredi, des médias ont révélé deux failles principales reliées à ce système de lecture des codes QR vaccinaux. Québec a réagi en déposant des plaintes formelles contre les personnes ayant rapporté ces failles publiquement. Une mise à jour de l’application devait corriger au moins l’une de ces vulnérabilités, a aussi indiqué au Devoir le ministre responsable de la Protection des renseignements personnels, Éric Caire.

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Passeport vaccinal: des restaurateurs préfèrent fermer leur salle à manger - Le Journal de Québec

Déjà essoufflés par la pandémie, des propriétaires de restaurant de la région ont décidé de fermer leur salle à manger dès demain plutôt que de gérer l’introduction du passeport vaccinal. 

• À lire aussi: Le passeport suscite l’inquiétude

• À lire aussi: Passeport vaccinal: un test pour les congrès et les réunions d’affaires

• À lire aussi: VaxiCode maintenant disponible sur Android

Pour certains restaurateurs, qui sont aux prises avec une importante pénurie de main-d’œuvre, le passeport vaccinal est la goutte qui a fait déborder le vase.

Ils ont ainsi choisi de fermer leur salle à manger, pour ne maintenir que les services pour emporter et la livraison.

C’est notamment le cas des succursales du restaurant de sushis L’Oeil du Dragon, situées à Québec et à Lévis. « C’est trop de trouble », soutient le propriétaire Éric Miller.

« Ce n’est pas clair, les directives du gouvernement, par rapport à ce que nous devons faire. C’est trop de paperasse, d’étapes et de temps, poursuit le restaurateur. Déjà, on a une pénurie de main-d’œuvre et là faudrait leur rajouter des tâches qui sont vraiment discutables. »

Le franchisé de la Pizzéria Stratos de Lévis, Marc-André Blais, y voit lui aussi plusieurs contraintes.

« Je n’ai pas beaucoup d’employés à l’avant. Leur demander de s’occuper de ça en même temps de faire leur travail, c’est difficile. Ils ont déjà assez souffert depuis deux ans. Ils en ont fait assez, on ne veut pas leur imposer ça en plus », explique M. Blais, évoquant au passage les problèmes logistiques qui pourraient survenir avec la preuve vaccinale.

La rentrée s’ajoute

La Pizzéria 67, située dans le quartier Saint-Jean-Chrysostome, à Lévis, se limitera également aux livraisons et aux commandes au comptoir.

« Avec le manque de personnel, la rentrée scolaire et la gestion du passeport vaccinal, il nous est impossible de vous offrir le service conforme à vos attentes », a indiqué le commerce sur les réseaux sociaux.

Au moins trois autres restaurants de Québec, dont le Snack Branché et la Fromagerie des Rivières, ont aussi pris la même décision. 

Pour l’Association Restauration Québec (ARQ), le passeport vaccinal est toutefois un moindre mal, après près de 18 mois de pandémie.

« Mieux ça que de fermer »

Les fermetures annoncées ne représentent pas la majorité des établissements. 

« Ça va être un fardeau, c’est compliqué, on le sait. Mais pour l’ensemble de l’industrie, qui n’est pas un monolithe, c’est mieux ça que la fermeture des salles à manger. Si certains veulent fermer leur salle à manger, c’est un choix de gestion », indique Martin Vézina, responsable (Communication et Affaires publiques) de l’ARQ.  

Pour le Groupe St-Hubert, pas question de fermer ses nombreuses salles à manger.

« Le passeport vaccinal complique un peu l'entrée en restaurant pour nos employés et les clients, mais si ça nous permet de ne plus refermer nos salles à manger nous suivons la procédure avec plaisir. Nous espérons toutefois qu'au fil des prochaines semaines, le passeport nous permettra de lever certaines restrictions », explique Josée Vaillancourt, directrice des communications.

— Avec Jean-François Racine

Une grande lourdeur  

« On ne veut pas que nos employés aient à gérer tous les problèmes qui peuvent être occasionnés par le passeport, comme un client dont le code QR ne fonctionne pas ou une preuve papier qui n’est pas conforme. »

– Marc-André Blais, Pizzéria Stratos de Lévis 

« Je ne pense pas qu’il va y avoir un impact réel. Je vais l’exiger, on va le faire respecter, mais c’est pelleté dans notre cour et c’est encore à nous de gérer ça. C’est lourd. » 

– François Blais, Bistro B et ARVI

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Le port de Trois-Rivières doit refuser des navires - TVA Nouvelles

Signe de la vigueur de la reprise économique, le Port de Trois-Rivières a dû refuser des clients depuis le début de l'année.

Ce sont au moins cinq navires qui ont été déroutés vers d'autres ports, faute d'espaces d'entreposage suffisants pour les accueillir. Ils transportaient en tout 100 000 tonnes de marchandises générales.

«On n'aime pas refuser un navire, a fait savoir le PDG Port de Trois-Rivières, Gaétan Boivin. Au pire, ça va aller ailleurs, mais pas nécessairement au Québec où au Canada, mais peut-être à l'étranger.»

L'activité portuaire trifluvienne n’aura à peine, sinon pas du tout fléchi au pire de la pandémie. «Au port de Trois-Rivières, on n'a pas vécu cette période de ralentissement économique là», a souligné M. Boivin.

Malgré l'important ajout d'espaces d'entreposage au cours des dernières années, le port flirte encore avec les limites de sa capacité. Le problème sera toutefois réglé autour de 2025 avec le prolongement des quais sur une longueur de 700 mètres du côté ouest.

Le tonnage manutentionné pourra être accru de 50 %. Québec a d'ailleurs annoncé lundi un soutien financier à ce projet allant jusqu'à 22,5 millions $. Il s'agit d'un projet global dépassant les 130 millions $. Ottawa a déjà accordé une aide de 33 millions $.

«Grâce à la construction du Terminal 21, le Port sera encore mieux outillé pour répondre à cette croissance», a soutenu Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports.

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COVID-19: un bilan «encourageant», selon le ministre Dubé - Le Journal de Québec

Le Québec a rapporté lundi 386 cas de COVID-19 (1 569 depuis vendredi) et aucun décès.

• À lire aussi: Québec se dirigerait vers une vaccination prudente des enfants

Lundi, 125 personnes étaient hospitalisées (-1), dont 37 en soins intensifs (+1). C’est plus du double que les données enregistrées au début du mois, mais c’est beaucoup moins qu’au début des deuxième et troisième vagues.

«On voit l’effet de la vaccination sur les hospitalisations. C’est encourageant», a souligné sur Twitter, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, lundi.

À quelques heures de l’entrée en vigueur officielle du passeport vaccinal, 86 % de la population admissible aux vaccins (12 ans et plus) ont reçu une première dose et 78 % en ont reçu deux. L’application, toujours indisponible en version Android, devrait l’être «dans les prochaines heures», a aussi mentionné le ministre.

Au Québec, 388 799 personnes ont été infectées à la COVID-19 et 11 285 sont mortes depuis le début de la pandémie.

De son côté, l'Ontario a signalé 694 nouveaux cas de COVID-19 et aucun autre décès dû à la maladie lundi, tandis que la province a enregistré son taux de positivité des tests le plus élevé depuis début juin.

Parmi les gens infectés, près de 63 % n'étaient pas vaccinés, 11,4 %, avaient reçu une dose et 26 %, en avaient reçu deux.

Selon certaines sources, le premier ministre Doug Ford devrait annoncer cette semaine l’instauration d’un passeport ou d’un système de certificat de vaccination, a rapporté le journal Toronto Star.

Signalons aussi que les Manitobains devront présenter une preuve de vaccination, à compter de vendredi, pour accéder à certains commerces et services, tels que les gymnases, les restaurants et les théâtres.

Parmi les provinces qui avaient mis leur bilan à jour, lundi en début d’après-midi, la Nouvelle-Écosse rapportait 31 nouveaux cas de COVID-19.  

  • Écoutez l'analyste en politiques publiques Patrick Déry avec Benoit Dutrizac sur QUB Radio:   

BILAN DES CAS PAR RÉGION AU QUÉBEC    

  • Bas-Saint-Laurent : 4025     
  • Saguenay – Lac-Saint-Jean : 11 109     
  • Capitale-Nationale : 33 336     
  • Mauricie-et-Centre-du-Québec : 16 088     
  • Estrie : 15 448     
  • Montréal : 137 734     
  • Outaouais : 12 922     
  • Abitibi-Témiscamingue : 1199     
  • Côte-Nord : 594     
  • Nord-du-Québec : 127     
  • Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine :2087     
  • Chaudière-Appalaches : 19 462     
  • Laval : 33 494     
  • Lanaudière : 24 984     
  • Laurentides : 21 926     
  • Montérégie : 53 398     
  • Nunavik : 49     
  • Terres-Cries-de-la-Baie-James : 122     
  • Hors Québec: 600     
  • Région à déterminer: 4           

Total: 388 799 cas confirmés

BILAN DES DÉCÈS PAR RÉGION AU QUÉBEC    

  • Bas-Saint-Laurent : 53     
  • Saguenay – Lac-Saint-Jean : 271     
  • Capitale-Nationale : 1119     
  • Mauricie-et-Centre-du-Québec : 561     
  • Estrie : 355     
  • Montréal : 4775     
  • Outaouais : 215     
  • Abitibi-Témiscamingue : 9     
  • Côte-Nord : 4     
  • Nord-du-Québec : 0     
  • Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine : 47     
  • Chaudière-Appalaches : 367     
  • Laval : 920     
  • Lanaudière : 517     
  • Laurentides : 510     
  • Montérégie : 1559     
  • Nunavik : 0     
  • Terres-Cries-de-la-Baie-James : 3     
  • Hors Québec : 0     
  • Région à déterminer: 0          

Total: 11 285 décès

La situation au Canada    

  • Ontario: 565 025 cas (9498 décès)  
  • Québec: 388 799cas (11 285 décès)  
  • Alberta: 248 954 cas (2364 décès)  
  • Colombie-Britannique: 163 560 cas (1807 décès)  
  • Manitoba: 58 506 cas (1189 décès)  
  • Saskatchewan: 53 875 cas (598 décès)  
  • Nouvelle-Écosse: 6030 cas (94 décès)  
  • Nouveau-Brunswick: 2721 cas (46 décès)  
  • Terre-Neuve-et-Labrador: 1469 cas (7 décès)  
  • Yukon: 684 cas (8 décès)  
  • Nunavut: 658 cas (4 décès)  
  • Territoires du Nord-Ouest: 400 cas (1 décès)  
  • Île-du-Prince-Édouard: 230 cas  
  • Canadiens rapatriés: 13 cas   

Total: 1 490 924 (26 901 décès)

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